A Rangiroa, on pratique le ramassage de coquillages... En 1998, cette activité était le seul revenu de papa Timarama.
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Timarama habite à une heure de bateau d'Avatoru, village de Rangiroa. Pour vivre, il exploite la seule richesse du motu, les coquillages de toutes les couleurs : les pupū.
L'homme a repéré des endroits déjà exploités par les anciens. C'est là qu'il creuse des heures durant pour trouver les coquillages qu'il revendra à ceux qui fabriquent les colliers.
"Je dois creuser pour trouver les coquillages. Quand c'est profond, il y a les jaunes, les oranges et les blancs. Et au-dessus, je trouve les rouges". Timarama doit ensuite laver, trier, puis sécher les coquillages pour faire ressortir leur couleur. Il les revendra ensuite à Rangiroa 2 400 cfp le kilo.
L'homme a repéré des endroits déjà exploités par les anciens. C'est là qu'il creuse des heures durant pour trouver les coquillages qu'il revendra à ceux qui fabriquent les colliers.
"Je dois creuser pour trouver les coquillages. Quand c'est profond, il y a les jaunes, les oranges et les blancs. Et au-dessus, je trouve les rouges". Timarama doit ensuite laver, trier, puis sécher les coquillages pour faire ressortir leur couleur. Il les revendra ensuite à Rangiroa 2 400 cfp le kilo.