Suite à la crise sanitaire et la fermeture des frontières, les touristes ont déserté les îles. A Rangiroa, comme ailleurs, les prestataires de tourisme n'ont plus de revenus. Certains habitants ont ainsi décidé de se reconvertir. Emmanuel a décidé de se tourner vers l'activité d'aviculture.
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Suite à la crise sanitaire, il n'y a plus de touristes à Rangiroa. Les rentrées d'argent pour les prestataires sont donc nulles depuis des mois.
Certains habitants ont alors décidé de se reconvertir. C'est le cas par exemple d' Emmanuel, qui était guide touristique avant l'arrivée du Covid-19. L'homme s'est orienté vers l’agriculture et l'activité d'aviculteur, qu'il avait déjà expérimenté avant la crise.
Avec un capital de 500 000 cfp, Emmanuel s’est lancé dans l’élevage en plein air de poules pondeuse à Tiputa. Il est le seul à Rangiroa à avoir un élevage en plein air. Avec l’aide du SDR, il a pu s’acheter au mois de novembre dernier une centaine de poules .
Depuis les mois de mars et avril, elles pondent sept douzaines d’œufs par jour. Sa clientèle est principalement composée des habitants de l’île et de quelques commerçants de la place. Ses oeufs sont des oeufs bio calibrés en trois catégories : petits, moyens et gros.
Le début de l’activité a été assez difficile mais grâce à son courage et sa détermination, il a pu réaliser son projet d’élevage de poules pondeuses en plein air, un terrain près de 400 m2.
Une activité qu’il compte développer d’avantage. Son objectif : avoir plus de 200 poules pondeuses. Un challenge qu’il s’est donné dans les jours avenirs tout en prospectant d’autres organismes financiers.
Certains habitants ont alors décidé de se reconvertir. C'est le cas par exemple d' Emmanuel, qui était guide touristique avant l'arrivée du Covid-19. L'homme s'est orienté vers l’agriculture et l'activité d'aviculteur, qu'il avait déjà expérimenté avant la crise.
Avec un capital de 500 000 cfp, Emmanuel s’est lancé dans l’élevage en plein air de poules pondeuse à Tiputa. Il est le seul à Rangiroa à avoir un élevage en plein air. Avec l’aide du SDR, il a pu s’acheter au mois de novembre dernier une centaine de poules .
Depuis les mois de mars et avril, elles pondent sept douzaines d’œufs par jour. Sa clientèle est principalement composée des habitants de l’île et de quelques commerçants de la place. Ses oeufs sont des oeufs bio calibrés en trois catégories : petits, moyens et gros.
Le début de l’activité a été assez difficile mais grâce à son courage et sa détermination, il a pu réaliser son projet d’élevage de poules pondeuses en plein air, un terrain près de 400 m2.
Une activité qu’il compte développer d’avantage. Son objectif : avoir plus de 200 poules pondeuses. Un challenge qu’il s’est donné dans les jours avenirs tout en prospectant d’autres organismes financiers.