La dernière ferme perlière de Rangiroa

A cause de la crise de la perle, beaucoup de petites fermes perlières ont fermé. Exemple à Rangiroa où une seule ferme subsiste.
 
L’économie de l’archipel des Tuamotu repose en grande partie sur l’activité touristique, mais aussi sur l’industrie perlière. Secteur en crise depuis quelques années, la perliculture polynésienne dépend essentiellement de la clientèle japonaise.

Si les gros perliculteurs s'en sortent plutôt bien, ce n'est pas le cas des petites et moyennes fermes. En Polynésie, il y avait entre 600 et 700 concessions perlières.

Beaucoup ont fermé. C'est le cas à Rangiroa où la production a été divisée par 5 en quelques années. Sur l'atoll ne subsiste aujourd'hui qu'une seule ferme. 
 
la dernière ferme perlière de Rangiroa