Le GIE Tahiti Tourisme planche sur la question depuis hier. En parallèle, la Chambre territoriale des comptes publie un rapport alarmant sur la politique touristique du Pays entre 2005 et 2012
10 responsables du GIE à l’international se retrouvent à Tahiti pour un séminaire de travail. Semaine chargée en perspective pour les professionnels du tourisme, avec un workshop prévu jeudi et l’ouverture du salon du tourisme vendredi. Pour ce séminaire, il est question de présenter les bilans des différents marchés ainsi que les orientations pour les années à venir.
Jonathan Reap, responsable du GIE aux Etats-Unis évoque les stratégies développées ces dernières années au micro de Maruki Dury :
De bonnes intentions, mais tout n’est pas si simple…
La Chambre territoriale des comptes publie un rapport alarmant sur la politique touristique du Pays entre 2005 et 2012, rapport révélé ce matin par les Nouvelles de Tahiti.
Entre 2001 et 2010, la fréquentation touristique a chuté de 32% en Polynésie. Dans le même temps, les Fidji ont attiré 82% de visiteurs en plus, et les îles Cook près de 40%. La CTC dénonce l’absence de mise en œuvre de véritables stratégies sur la durée, notamment à cause des multiples changements politiques. Le tourisme reste pourtant la première industrie de la Polynésie française, en terme d’emplois et de revenus.
Jonathan Reap, responsable du GIE aux Etats-Unis évoque les stratégies développées ces dernières années au micro de Maruki Dury :
GIE tahiti tourisme
De bonnes intentions, mais tout n’est pas si simple…
La Chambre territoriale des comptes publie un rapport alarmant sur la politique touristique du Pays entre 2005 et 2012, rapport révélé ce matin par les Nouvelles de Tahiti.
Entre 2001 et 2010, la fréquentation touristique a chuté de 32% en Polynésie. Dans le même temps, les Fidji ont attiré 82% de visiteurs en plus, et les îles Cook près de 40%. La CTC dénonce l’absence de mise en œuvre de véritables stratégies sur la durée, notamment à cause des multiples changements politiques. Le tourisme reste pourtant la première industrie de la Polynésie française, en terme d’emplois et de revenus.