Jean-Jacques Payet, 57 ans et Marie-Andrée Corré, 50 ans, s’étaient séparés en Janvier 2016. Une rupture qui est à l’origine de la tragédie.
Mardi, vers 12h30, deux coups de feu retentissent au 101 chemin Stéphane à Trois-Mares au Tampon. Jean-Jacques Payet, 57 ans, vient d’exécuter Marie-Andrée Corré d’une balle dans la tête. Il a retourné l’arme contre lui pour se donner la mort.
Malgré l’extinction de l’action publique, les gendarmes enquêtent pour comprendre le déroulement des faits et les raisons de ce drame.
Selon les voisins et les amis du couple, Jean-Jacques et Marie-Andrée s’étaient séparés au mois de Janvier 2016. Une rupture sans éclat de voix, ni « ralé-poussé », qui semblait s’être déroulée dans le calme.
Au salut d’une amie, le meurtrier répond : « Adieu »
En fait, les apparences étaient trompeuses. Depuis des semaines, Payet dormait à droite à gauche et parfois même chez son ex. Une situation inconfortable qui a explosé au grand jour de manière tragique ce mardi 8 Mars 2016.
Une heure avant les faits, le meurtrier a croisé deux amies alors qu’il circulait en ville du Tampon. A l’une d’elle, après l’avoir saluée, il a simplement dit adieu. Une phrase surprenante qui a pris tout son sens une heure plus tard quand la triste nouvelle s’est répandue dans la commune du Sud.
Le meurtre d’une compagne, le jour de la journée de la femme…
Reportage : Jacques Payet, Laurent Josse
Malgré l’extinction de l’action publique, les gendarmes enquêtent pour comprendre le déroulement des faits et les raisons de ce drame.
Selon les voisins et les amis du couple, Jean-Jacques et Marie-Andrée s’étaient séparés au mois de Janvier 2016. Une rupture sans éclat de voix, ni « ralé-poussé », qui semblait s’être déroulée dans le calme.
Au salut d’une amie, le meurtrier répond : « Adieu »
En fait, les apparences étaient trompeuses. Depuis des semaines, Payet dormait à droite à gauche et parfois même chez son ex. Une situation inconfortable qui a explosé au grand jour de manière tragique ce mardi 8 Mars 2016.
Une heure avant les faits, le meurtrier a croisé deux amies alors qu’il circulait en ville du Tampon. A l’une d’elle, après l’avoir saluée, il a simplement dit adieu. Une phrase surprenante qui a pris tout son sens une heure plus tard quand la triste nouvelle s’est répandue dans la commune du Sud.
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