Un policier de Saint-Denis est en garde à vue depuis mercredi soir. L'homme est suspecté d'avoir entretenu des relations régulière avec deux des prostituées domiciliées dans la maison de Saint-Jacques.
L'affaire de la "maison close" de Saint-Denis a connu un rebondissement, mercredi soir, avec l'arrestation et le placement en garde à vue d'un policier de Saint-Denis. L'homme devrait être amené devant la juge d'instruction pour être mis en examen, dans la journée de ce vendredi 16 février 2018. Il lui est reproché d'avoir entretenu des relations suivies avec l'une des deux femmes qui vendaient ses charmes dans la villa située à l'angle des ruelles Pavée et des Anges à Saint-Denis. Le représentant des forces de l'ordre aurait profité directement des gains réalisés par la "professionnelle".
Le proxénète en détention provisoire
Jeudi, 5 personnes ont été mises en examen dans cette affaire. Mohamed Rangila, proxénète présumé et propriétaire de la case transformée en hôtel de passe, a été placé en détention provisoire à l'issue de son passage devant de juge de la détention et de la liberté. Ses complices, son fils, deux prostituées et une rabatteuse de clients sont ressortis libres, mais sous contrôle judiciaire.
Les investigations des inspecteurs de la Sûreté départementale ne sont pas terminées, d'autres interpellations restent possibles...
Le proxénète en détention provisoire
Jeudi, 5 personnes ont été mises en examen dans cette affaire. Mohamed Rangila, proxénète présumé et propriétaire de la case transformée en hôtel de passe, a été placé en détention provisoire à l'issue de son passage devant de juge de la détention et de la liberté. Ses complices, son fils, deux prostituées et une rabatteuse de clients sont ressortis libres, mais sous contrôle judiciaire.
Les investigations des inspecteurs de la Sûreté départementale ne sont pas terminées, d'autres interpellations restent possibles...