40 à 60 membres du collectif de défense du DPM ont manifesté, jeudi soir à l'Hermitage-les-Bains, contre une soirée organisée par le restaurant de plage La Bobine. La manifestation a pris fin avec la venue des gendarmes qui ont obtenu l'extinction de la sono à 21 h 20.
Ils étaient 40, peut-être 60, sous les filaos de l'Hermitage-les-Bains pour manifester contre la soirée organisée par le restaurant de plage La Bobine. Les membres du collectif de défense du DPM (Défense du Domaine Public Maritime), vêtus de combinaisons blanches, ont protesté contre l'organisation de cette soirée en soufflant dans des vuvuzela pour recouvrir le son de la sono de la paillotes.
Une opération circonstanciée, baptisée "100 papangues", s'inscrit dans la lutte du collectif contre ces commerces installés en bordure du lagon.
AOT ou pas les paillotes sont là !
Depuis le début de l'année 2018, les riverains de l'Hermitage et les sympathisants du collectif, demandent la fermeture des "paillotes". Ils estiment que ces restaurants de plage empiètent illégalement sur le domaine maritime. Ils s'insurgent contre ce qu'ils appellent les "constructions illégales" auxquelles se sont livrées les restaurateurs.
De leur côté, les exploitants faisaient valoir, les autorisations d'occupation temporaire délivrées par la mairie de Saint-Paul. Des AOT qui n'ont pas été renouvelées le 30 juin 2018, mais qui n'empêchent pas les restaurants de continuer à fonctionner. Un état de fait incompréhensible pour le collectif de défense du DPM...
Une opération circonstanciée, baptisée "100 papangues", s'inscrit dans la lutte du collectif contre ces commerces installés en bordure du lagon.
AOT ou pas les paillotes sont là !
Depuis le début de l'année 2018, les riverains de l'Hermitage et les sympathisants du collectif, demandent la fermeture des "paillotes". Ils estiment que ces restaurants de plage empiètent illégalement sur le domaine maritime. Ils s'insurgent contre ce qu'ils appellent les "constructions illégales" auxquelles se sont livrées les restaurateurs.
De leur côté, les exploitants faisaient valoir, les autorisations d'occupation temporaire délivrées par la mairie de Saint-Paul. Des AOT qui n'ont pas été renouvelées le 30 juin 2018, mais qui n'empêchent pas les restaurants de continuer à fonctionner. Un état de fait incompréhensible pour le collectif de défense du DPM...