Les soucis des habitants du lieu-dit la Cafrine à Saint-Leu continus. Le câble électrique qui doit alimenter la pompe chargé d'évacuer les eaux usées est illégal. Les camions d'assainissement, qui se succèdent tous les matins à 7 h 30 ne vont pas disparaître et avec eux l'odeur va perdurer !
Le réseau d'évacuation des eaux usées de la Cafrine, lieu-dit situé à l'entrée Nord de la ville de Saint-Leu, a été endommagé par les trains de houle successifs qui ont frappé la côte ces derniers mois. Pour preuve, les dégâts occasionnés par Fakir. Dégâts toujours visibles sur les murs de clôture des résidences situées en bord de mer.
Le plus gros problème est invisible. Il est caché sous la plage où les buses d'évacuations du tout à l'égout ne servent plus à rien depuis des mois. Pour palier, ce manque, la mairie s'appuie sur des camions d'assainissement qui viennent chaque matin à 7 h 30 pomper les eaux usées qui ont été déversées dans les buses la journée précédente. Si l'intention est louable, elle laisse les riverains dubitatifs. Sachant que les canalisations sont cassées, une partie des égouts ne terminent-ils pas leur course dans l'océan ? Les câbles électriques installés en bord de mer pour alimenter une pompe, chargée à terme, de remplacer les camions d'assainissement, ont ils reçu une autorisation de la DEAL ? Si l'on oublie la gêne visuelle, comment oublier l'odeur que laisse planer dans l'air, quotidiennement, les camions pompe. Fernando, très attaché à l'environnement explique : "Avec le risque requin, les surfeurs sont moins nombreux, mais est-il acceptable de voir les eaux usées partir dans le lagon ? Il suffit de respirer pour comprendre. De plus, difficile d'envisager des réparations dans l'immédiat, il est question de buses susceptible de renfermer de l'amiante".
Compte tenu des dernières informations recueillies par les riverains de la Cafrine, difficile d'imaginer une issue rapide à ce problème environnemental avant plusieurs mois comme l'espérait la mairie le 9 août dernier.
Le plus gros problème est invisible. Il est caché sous la plage où les buses d'évacuations du tout à l'égout ne servent plus à rien depuis des mois. Pour palier, ce manque, la mairie s'appuie sur des camions d'assainissement qui viennent chaque matin à 7 h 30 pomper les eaux usées qui ont été déversées dans les buses la journée précédente. Si l'intention est louable, elle laisse les riverains dubitatifs. Sachant que les canalisations sont cassées, une partie des égouts ne terminent-ils pas leur course dans l'océan ? Les câbles électriques installés en bord de mer pour alimenter une pompe, chargée à terme, de remplacer les camions d'assainissement, ont ils reçu une autorisation de la DEAL ? Si l'on oublie la gêne visuelle, comment oublier l'odeur que laisse planer dans l'air, quotidiennement, les camions pompe. Fernando, très attaché à l'environnement explique : "Avec le risque requin, les surfeurs sont moins nombreux, mais est-il acceptable de voir les eaux usées partir dans le lagon ? Il suffit de respirer pour comprendre. De plus, difficile d'envisager des réparations dans l'immédiat, il est question de buses susceptible de renfermer de l'amiante".
Compte tenu des dernières informations recueillies par les riverains de la Cafrine, difficile d'imaginer une issue rapide à ce problème environnemental avant plusieurs mois comme l'espérait la mairie le 9 août dernier.