Pour la 6ème fois depuis qu’on baptise les tempêtes, une dépression tropicale précède l’ouverture administrative de la saison cyclonique, le 1er juin. Pour les experts, cette tempête précoce le confirme. La saison s'annonce particulièrement active. Et le Covid 19 complique la donne.
Entre 15 et 24 phénomènes baptisés et une demi-douzaine d’ouragans majeurs. Les dernières prévisions ne sont pas rassurantes pour la saison cyclonique 2020.
Tous les indicateurs le confirment : les conditions climatiques et météorologiques sont réunies pour une saison hyperactive. Et la menace est d’autant plus grave cette année que l’épidémie de Covid 19 rend les choses beaucoup plus compliquées.
Comment respecter les gestes barrières dans les abris anticycloniques ouverts au public, comment prendre en charge les blessés dans des hôpitaux éventuellement déjà surchargés, comment organiser les évacuations sans risquer de propager le virus ?
Autant de questions qui se posent avec acuité, alors que la pandémie pourrait également affecter les prévisions météo, et donc le temps disponible pour se préparer à affronter le phénomène.
Une grande partie des données, observations et autres relevés utilisés par les météorologues pour suivre et anticiper l’évolution du temps provient en effet des avions de ligne qui transmettent de nombreuses informations, pression atmosphérique, vitesse du vent etc...Avec un trafic aérien réduit de 90%, cette source est presque totalement tarie.
Tous les indicateurs le confirment : les conditions climatiques et météorologiques sont réunies pour une saison hyperactive. Et la menace est d’autant plus grave cette année que l’épidémie de Covid 19 rend les choses beaucoup plus compliquées.
Comment respecter les gestes barrières dans les abris anticycloniques ouverts au public, comment prendre en charge les blessés dans des hôpitaux éventuellement déjà surchargés, comment organiser les évacuations sans risquer de propager le virus ?
Autant de questions qui se posent avec acuité, alors que la pandémie pourrait également affecter les prévisions météo, et donc le temps disponible pour se préparer à affronter le phénomène.
Une grande partie des données, observations et autres relevés utilisés par les météorologues pour suivre et anticiper l’évolution du temps provient en effet des avions de ligne qui transmettent de nombreuses informations, pression atmosphérique, vitesse du vent etc...Avec un trafic aérien réduit de 90%, cette source est presque totalement tarie.