L’Union des femmes francophones d’Océanie (UFFO) organise son 8ème atelier régional à Wallis à partir du 5 décembre. Le thème porte sur l’émancipation de la femme. Partons à la rencontre d’Asope et de Male, 2 wallisiennes passionnées par leurs métiers.
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L'une vend les fleurs de son jardin en plus de son artisanat, l'autre est une passionnée de cuisine. Et par celà, elles contribuent au développement du Fenua. Malekalita et Asope sont deux femmes de leur temps, deux wallisiennes qui n’ont pas hésité à faire de leur passion, leur métier.
De lundi à vendredi, les journées d’Asope sont réglées comme sur du papier à musique. Non seulement restauratrice, elle cultive elle-même ses légumes. Chaque matin elle se rend donc à son potager avant de rejoindre son équipe de cuisinières. Elle a 52 ans et emploie deux femmes pour la cuisine et un cultivateur pour la gestion des champs.
Pour Asope, le quotidien de Le femme océanienne est de tout superviser.
Malekalita est du même avis. À 59 ans, elle est une passionnée de fleurs. Elle a toujours vécu grâce à la vente de ses produits artisanaux et de ses fleurs. Fière de n’avoir à dépendre de personne, Elle déclare :
Ça arrondit mes fins de mois, mais c’est aussi la période. Comme la Toussaint ou la fête des mères. Cela dit je viens de signer un accord avec un magasin pour que je puisse y vendre mes fleurs deux fois par semaine
Pour Male, la place de la femme est centrale dans la société océanienne. C’est elle qui donne la vie dit-elle. Son émancipation est naturelle et indispensable.
Pour en savoir plus, voici le reportage de Ana Vakalepu et Leone Vaitanoa:
De lundi à vendredi, les journées d’Asope sont réglées comme sur du papier à musique. Non seulement restauratrice, elle cultive elle-même ses légumes. Chaque matin elle se rend donc à son potager avant de rejoindre son équipe de cuisinières. Elle a 52 ans et emploie deux femmes pour la cuisine et un cultivateur pour la gestion des champs.
Pour Asope, le quotidien de Le femme océanienne est de tout superviser.
Malekalita est du même avis. À 59 ans, elle est une passionnée de fleurs. Elle a toujours vécu grâce à la vente de ses produits artisanaux et de ses fleurs. Fière de n’avoir à dépendre de personne, Elle déclare :
Ça arrondit mes fins de mois, mais c’est aussi la période. Comme la Toussaint ou la fête des mères. Cela dit je viens de signer un accord avec un magasin pour que je puisse y vendre mes fleurs deux fois par semaine
Pour Male, la place de la femme est centrale dans la société océanienne. C’est elle qui donne la vie dit-elle. Son émancipation est naturelle et indispensable.
Pour en savoir plus, voici le reportage de Ana Vakalepu et Leone Vaitanoa: