Suite et fin du parcours de la pétition pour de meilleures routes. Près de 1400 signatures récoltées en une semaine. Elle a été déposée à la préfecture par le pétitionnaire. Philippe Colin a été reçu par le Préfet. Les grands axes de cette rencontre suivie de réactions d’automobilistes.
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Près de 1400 Signatures en une semaine. La pétition de Philippe Colin a fait son chemin. Il l’a déposée ce vendredi 19 janvier 2017 en main propre au préfet Jean-Françis Treffel. Philippe Colin nous fait part des pistes évoquées lors de cet entretien.
1 - Une participation, en tout cas une sorte de collaboration entre les villages (à mettre en place) et le territoire ou plutôt les services des TP, pour une veille. L'objectif signaler de suite au TP (travaux publics) les déformations sur les routes, pour éviter que cela prenne de l'ampleur.
2 - Pour l’entretien routier, la préfecture reconnaît un certain laxisme des services de l’état. Des annonces ont été faites. Plus de moyens, de nouveaux engins pour réparer les routes.
Informés de ces projets, les automobilistes s’étonnent d’une éventuelle surveillance routière par les villageois. Pour Fiona : "pourquoi pas mais si les villageois signalent des choses, il faut que ça suive ! ". Pilioko va plus loin :" Il est impossible pour les villageois de gérer le mauvais état des routes ! Encore moins de faire de la surveillance ! C’est le rôle de l’état !"
Pour Ekelese, Il vaut mieux réparer les routes que de les surveiller en plus, il faudra payer ceux qui resteront en alerte. Leonia aborde le problème, celui du financement :" on a besoin de sous pour aider les villageois à faire les travaux".
Des travaux de rénovation sont en projet. En attendant, le pétitionnaire maintient sa plainte déposée contre l’administration il y a plus d’une semaine. Une sorte de gage de sécurité pour la suite.
1 - Une participation, en tout cas une sorte de collaboration entre les villages (à mettre en place) et le territoire ou plutôt les services des TP, pour une veille. L'objectif signaler de suite au TP (travaux publics) les déformations sur les routes, pour éviter que cela prenne de l'ampleur.
2 - Pour l’entretien routier, la préfecture reconnaît un certain laxisme des services de l’état. Des annonces ont été faites. Plus de moyens, de nouveaux engins pour réparer les routes.
Informés de ces projets, les automobilistes s’étonnent d’une éventuelle surveillance routière par les villageois. Pour Fiona : "pourquoi pas mais si les villageois signalent des choses, il faut que ça suive ! ". Pilioko va plus loin :" Il est impossible pour les villageois de gérer le mauvais état des routes ! Encore moins de faire de la surveillance ! C’est le rôle de l’état !"
Pour Ekelese, Il vaut mieux réparer les routes que de les surveiller en plus, il faudra payer ceux qui resteront en alerte. Leonia aborde le problème, celui du financement :" on a besoin de sous pour aider les villageois à faire les travaux".
Des travaux de rénovation sont en projet. En attendant, le pétitionnaire maintient sa plainte déposée contre l’administration il y a plus d’une semaine. Une sorte de gage de sécurité pour la suite.