L'Etat d'urgence ne s'applique pas à Wallis et Futuna comme dans l'ensemble des collectivités du Pacifique. En revanche, le plan Vigipirate renforcé a été mis en oeuvre avec pour principale conséquence le renforcement des contrôles à l'aéroport de Hihifo.
A Wallis et Futuna, la principale conséquence de la mise en oeuvre du plan Vigipirate renforcé est la montée en puissance des contrôles à l'aéroport de Hihifo.
L'Etat d'urgence ne s'applique pas sur le territoire comme dans l'ensemble des collectivités du Pacifique et à Saint Pierre et Miquelon. En revanche l'Etat d'urgence a été étendue aux départements d'Outre-mer, à Saint Martin et à Saint Barthélémy.
Une réunion sur la sécurité a eu lieu au petit matin du lundi 16 novembre à l'administration supérieure. Etaient présents autour du Secrétaire général de la préfecture, les responsables de la gendarmerie, des douanes, des renseignements généraux et de l'aviation civile.
Principale décision: le renforcement des contrôles de bagages et d'identités à l'aéroport de Hihifo. Des fouilles aléatoires de valises, sacs et colis pourront être conduites et certains passeports seront regardés de plus près.
Le Secrétaire général de la préfecture, Pierre Simunek, appelle les passagers "à faire l'effort de patience et de vigilance" nécessaire en raison de l'allongement des procédures. Il demande également "de la discipline pour la circulation automobile" afin dit-il de ne pas empêcher de "fluidifier la situation".
Le chef des services du cabinet de la préfecture, Cedric Kari-Herkner, précise que "la prudence élémentaire s'impose et que Les Wallisiens et Futuniens doivent être sensibilisés à Vigipirate".
Pour la première fois une signalétique Vigipirate appelle l'attention des passagers sur les nouvelles consignes de sécurité.
Pierre Simunek reconnaît cependant que "Wallis et Futuna n'est pas en première ligne et qu'il n'est donc pas question d'imposer des dispositifs aussi draconiens qu'en région parisienne". Le territoire agira en liaison permanente avec Nouméa notamment en matière de renseignement.
La sécurité de l'aéroport est assurée par une société privée qui a été invitée à rassembler la totalité de ses effectifs aux côtés des gendarmes, gardes territoriaux et douaniers eux aussi tous mobilisés. Le nombre de gendarmes, notamment, a été multiplié par deux et des patrouilles instaurées les jours d'arrivée et départ des vols internationaux.
L'aéroport de Hihifo a accueilli 25 000 passagers en 2014, pour moitié à l'international (Fidji et Nouvelle-Calédonie) et pour l'autre moitié sur les vols inter-îles entre Wallis et Futuna.
Le renforcement des contrôles s'applique également au port de Mata Utu (le wharf) pour les cargos, navires de croisière et petits bateaux comme les voiliers et yachts.
L'Etat d'urgence ne s'applique pas sur le territoire comme dans l'ensemble des collectivités du Pacifique et à Saint Pierre et Miquelon. En revanche l'Etat d'urgence a été étendue aux départements d'Outre-mer, à Saint Martin et à Saint Barthélémy.
Une réunion sur la sécurité a eu lieu au petit matin du lundi 16 novembre à l'administration supérieure. Etaient présents autour du Secrétaire général de la préfecture, les responsables de la gendarmerie, des douanes, des renseignements généraux et de l'aviation civile.
Principale décision: le renforcement des contrôles de bagages et d'identités à l'aéroport de Hihifo. Des fouilles aléatoires de valises, sacs et colis pourront être conduites et certains passeports seront regardés de plus près.
Le Secrétaire général de la préfecture, Pierre Simunek, appelle les passagers "à faire l'effort de patience et de vigilance" nécessaire en raison de l'allongement des procédures. Il demande également "de la discipline pour la circulation automobile" afin dit-il de ne pas empêcher de "fluidifier la situation".
Le chef des services du cabinet de la préfecture, Cedric Kari-Herkner, précise que "la prudence élémentaire s'impose et que Les Wallisiens et Futuniens doivent être sensibilisés à Vigipirate".
Pour la première fois une signalétique Vigipirate appelle l'attention des passagers sur les nouvelles consignes de sécurité.
Pierre Simunek reconnaît cependant que "Wallis et Futuna n'est pas en première ligne et qu'il n'est donc pas question d'imposer des dispositifs aussi draconiens qu'en région parisienne". Le territoire agira en liaison permanente avec Nouméa notamment en matière de renseignement.
La sécurité de l'aéroport est assurée par une société privée qui a été invitée à rassembler la totalité de ses effectifs aux côtés des gendarmes, gardes territoriaux et douaniers eux aussi tous mobilisés. Le nombre de gendarmes, notamment, a été multiplié par deux et des patrouilles instaurées les jours d'arrivée et départ des vols internationaux.
L'aéroport de Hihifo a accueilli 25 000 passagers en 2014, pour moitié à l'international (Fidji et Nouvelle-Calédonie) et pour l'autre moitié sur les vols inter-îles entre Wallis et Futuna.
Le renforcement des contrôles s'applique également au port de Mata Utu (le wharf) pour les cargos, navires de croisière et petits bateaux comme les voiliers et yachts.