Dans la réorganisation de l'offre de soins suite à l'incendie au CHU, l'ARS a tranché : une délocalisation partielle avec une réintégration partielle. Pour une partie du personnel et des élus, il faut désormais travailler ensemble pour offrir la meilleure offre de soins aux Guadeloupéens.
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Les opérations de nettoyage et de mises aux norme du CHU vont se poursuivre en site occupée pendant au moins 2 ans… C'est l'annonce qui a été faite, ce mercredi, par Valérie Denux. Une annonce déjà pressentie, par de nombreux acteurs de la santé.
Plus de 6 mois après l'incendie qui a ravagé le CHU, en novembre dernier, la direction de l'Agence régionale de santé a, enfin, décidé de délocaliser partiellement l'offre de soins avec une réintégration partielle des locaux.
Une seule délocalisation définitive, le pole néonatalogie transféré à Palais Royal.. Voila donc les grandes lignes du plan de réorganisation du CHU que Valérie Denux a présenté.
Une seule délocalisation définitive
Cette décision, la Guadeloupe entière l'attendait... C’est entourée de toute la chaine décisionnaire de la santé en Guadeloupe que la patronne de l’Agence régionale de Santé à présenté son plan, d’abord aux partenaires sociaux, aux parlementaires, aux élus puis à la presse.Plus de 6 mois après l'incendie qui a ravagé le CHU, en novembre dernier, la direction de l'Agence régionale de santé a, enfin, décidé de délocaliser partiellement l'offre de soins avec une réintégration partielle des locaux.
Une seule délocalisation définitive, le pole néonatalogie transféré à Palais Royal.. Voila donc les grandes lignes du plan de réorganisation du CHU que Valérie Denux a présenté.
Un choix pris en concertation, avec la ministre de la Santé, Agnès Buzyn.
Redonner confiance aux Guadeloupéens en leur hôpital
Pour Josette Borel Lincertin, la présidente du Conseil départemental, comme pour le docteur Suzy Duflo, Présidente de la commission médicale d'établissement, il est aujourd'hui important de tout mettre en oeuvre pour travailler de concert.
Une décision qui n'est pas du goût des syndicats
Le collectif de défense du CHU est loin d’être convaincu. Même si ils reconnaissent que les contraintes techniques économiques et humaines privent certainement la patronne de l’ARS d’une marge de manœuvre suffisante ; le plan présenté n’est pas acceptable selon Gaby Clavier, de l'UTS UGTG.