L'école était restée fermée depuis le 7 décembre dernier, depuis la révélation de faits d'agressions sexuelles sur l'une des élèves de la maternelle. Il s'agissait pour les autorités d'essayer de comprendre ce qui s'est passé et les circonstances de ces actes inadmissibles
Ils ont accpeté de ramener leurs enfants à la petite école de Sainte Marguerite. Mais ils l'ont fait sans toujours être rassurés sur les garanties de sécurité qu'on a bien voulu leur donner. Ils n'ont toujours pas les conclusions de l'enquête menée par les forces de l'ordre, la municipalité et l'administration scolaire, mais les patents se disent prêts à rester attentifs à tout ce qui va désormais se passer dans l'école, et ce, jusqu'à ce qu'on leur prouve que la sécurité de leurs enfants n'est pas en danger.
Cette fermeture était d'ailleurs une condition posée par les parents d'élèves qui ne comprenaient pas que de tels actes aient pu arriver dans un univers normalement protégé. Malgré les trous dans la clôture, rien ne pouvait vraiment expliquer comment un individu à pu s'introduire dans l'enceinte de l'établissement sans que personne ne s'en aperçoive et perpétrer de tels actes sur, visiblement, plusieurs élèves de l'école.
VOIR : Ecole Schoelcher au Moule : «Cette enquête n’est pas aux oubliettes»
Voir :
- Émotion et colère à l'école Schoelcher du Moule
- Agression sexuelle sur une enfant au Moule : de nombreuses questions sans réponse