En visite à Oiapoque, le sénateur de l'Etat de l'Amapa, Randolfe Rodrigues, a fait un état des lieux de l'avancée des travaux sur la portion de route non asphaltée de la BR156 qui mène à la capitale Macapa. Ils sont au point mort. L'édile va de nouveau interpeller le ministère responsable.
"C’est une honte pour un travail qui dure plus de 40 ans et qui mine le développement de l’Etat et la vie des gens", s'est ému le sénateur Randolfe Rodrigues. Venu dans la commune frontalière Oiapoque, l'élu a constaté qu'une nouvelle fois les travaux de la BR156 sont interrompus. Et pourtant depuis des mois, les machines sont en attente sur les abords du tronçon de 27 km à réaliser d'ici 2020. 10 km devraient être asphaltés fin 2019.
Alors que la saison sèche s'installe en Amazonie, il est plus que temps que cet axe routier essentiel, le seul qui dessert Oiapoqué, s'achève. Les politiques de l'état sont montés de multiples fois au créneau depuis le début de l'année, des décisions de justice ont été rendues, une annonce de reprise des ouvrages faite par le ministère des infrastructures et transport (DNIT) et pourtant les travaux tardent à commencer.
Faut-il rappeler qu'à cette période de l'année, de nombreux touristes guyanais et ressortissants brésiliens demeurant en Guyane, empruntent cette roue pour se rendre au Brésil. C'est le seul moyen d'atteindre la capitale de l'Amapa, Macapa qui n'est desservie par aucune ligne aérienne au départ de Cayenne.
Source : Diaro do Amapa
Un axe routier essentiel pour Oiapoqué
Alors que la saison sèche s'installe en Amazonie, il est plus que temps que cet axe routier essentiel, le seul qui dessert Oiapoqué, s'achève. Les politiques de l'état sont montés de multiples fois au créneau depuis le début de l'année, des décisions de justice ont été rendues, une annonce de reprise des ouvrages faite par le ministère des infrastructures et transport (DNIT) et pourtant les travaux tardent à commencer.
Faut-il rappeler qu'à cette période de l'année, de nombreux touristes guyanais et ressortissants brésiliens demeurant en Guyane, empruntent cette roue pour se rendre au Brésil. C'est le seul moyen d'atteindre la capitale de l'Amapa, Macapa qui n'est desservie par aucune ligne aérienne au départ de Cayenne.Source : Diaro do Amapa