Si le conflit des salariés de la SOTRAVOM avait été suspendu pour les fêtes de Noël, il n'en sera pas de même pour les festivités du carnaval. Bertrand Cambusy, le secrétaire général de la CSTM prévoit de poursuivre le mouvement. Les transporteurs se disent désormais solidaires.
Le trafic des bus du réseau Mozaïk et des BHNS du Transport Collectif en Site Propre a repris samedi matin (23 février 2019) suite à la décision de justice qui ordonne aux grévistes de débloquer les garages neutralisés depuis le 11 février 2019.
Cependant, le conflit à la société co-traitante SOTRAVOM n'est pas réglé pour autant. Le conflit qui a commencé depuis novembre 2018 est toujours au point mort et plusieurs lignes de bus sont toujours à l'arrêt.
Si une trêve avait été accordée par les grévistes pour les fêtes de Noël en décembre 2018, il n'en sera rien pour les festivités du carnaval selon Bertrand Cambusy, le secrétaire général de la CSTM.
Par ailleurs, désormais, ce sont les autres transporteurs qui se disent solidaires du mouvement.
Cependant, le conflit à la société co-traitante SOTRAVOM n'est pas réglé pour autant. Le conflit qui a commencé depuis novembre 2018 est toujours au point mort et plusieurs lignes de bus sont toujours à l'arrêt.
Si une trêve avait été accordée par les grévistes pour les fêtes de Noël en décembre 2018, il n'en sera rien pour les festivités du carnaval selon Bertrand Cambusy, le secrétaire général de la CSTM.
Par ailleurs, désormais, ce sont les autres transporteurs qui se disent solidaires du mouvement.
Allons-nous vers une action commune ? Pour l'instant aucune des parties n'annonce de date de mobilisation ou de précision sur sa forme."Nous sommes solidaires puisque ce sont les mêmes personnes. Ça peut nous arriver aussi. Parce que demain si nous avons un problème, le président Alfred Marie-Jeanne refuse de recevoir quiconque. Moi-même j'ai déjà envoyé plusieurs courriers pour monsieur Marie-Jeanne et il ne nous a jamais reçu. S'il croit qu'il est le chef de la Martinique, il a la possibilité que tous les transporteurs se réunissent et personne ne voyage en Martinique", annonce Richard Marie-Reine, secrétaire du regroupement des taxis collectifs de Martinique.