Plusieurs syndicats appelaient à manifester ce lundi matin (13 juin) dans les rues de Fort-de-France. La CDMT, la CGTM/FSM, FO, UNSA, la FSU et la CSTM se mobilisent contre le projet de loi Travail, examiné par le Sénat.
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Ce lundi (13 juin) est marqué par la mobilisation intersyndicale contre le projet de loi Travail, examiné aujourd'hui par le Sénat. "Ce projet planifie une grave régression des droits sociaux acquis par le mouvement ouvrier tout au long de son histoire", estiment les syndicats. La journée a commencé à Fort-de-France avec le cortège parti de la Maison des syndicats. La CDMT, la CGTM/FSM, FO et la CSTM étaient dans les rues de la capitale. Vers 10 h 30, les troupes se sont dispersées.
La CDMT, la CGTM/FSM, FO et UNSA se sont dirigés vers la SARA où l'approvisionnement des stations-service en carburant devait être perturbé ce lundi. Ils ont rejoint le SNUIPP. Après des prises de parole, un convoi se dirige actuellement vers le centre commercial de la Galleria. Les manifestants ont également prévu de se rendre sur le site de Didier à Fort-de-France et à l'Aéroport au Lamentin.
Écoutez Philippe Pierre-Charles, secrétaire général de la CDMT au micro de Sangha Fagour et Marc Balssa :
De son côté, la CSTM est restée à Fort-de-France. Les manifestants sont allés vers la Préfecture où ils espèrent être reçus. Ils veulent discuter de la situation de la fourrière et de la judiciarisation des conflits.
La CDMT, la CGTM/FSM, FO et UNSA se sont dirigés vers la SARA où l'approvisionnement des stations-service en carburant devait être perturbé ce lundi. Ils ont rejoint le SNUIPP. Après des prises de parole, un convoi se dirige actuellement vers le centre commercial de la Galleria. Les manifestants ont également prévu de se rendre sur le site de Didier à Fort-de-France et à l'Aéroport au Lamentin.
Écoutez Philippe Pierre-Charles, secrétaire général de la CDMT au micro de Sangha Fagour et Marc Balssa :
Philippe Pierre-Charles, secrétaire général de la CDMT
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De son côté, la CSTM est restée à Fort-de-France. Les manifestants sont allés vers la Préfecture où ils espèrent être reçus. Ils veulent discuter de la situation de la fourrière et de la judiciarisation des conflits.