Cette année la saison cyclonique s’annonce plus intense encore que la dernière saison. Tous les experts venus de plus de 30 pays pour de la 40e réunion du comité des ouragans, s’accordent pour le dire. Cependant leurs trajectoires restent floues; ainsi la préparation reste l'élément clé.
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La saison cyclonique devrait débuter en juin prochain et selon les prédictions du "Tropical Storm Risk", un groupe de chercheurs britanniques quinze tempêtes, sept ouragans et trois ouragans intenses devraient être relevés cette année.
Une annonce qui n’émeut aucun des spécialistes présents au comité des ouragans qui se déroule en Martinique pour la première fois depuis sa création en 1979. "La prochaine saison cyclonique ? Je n’ai rien à en dire tout de suite… je m’en fiche ! Et vous savez pourquoi ? Parce que je peux prévoir 15 ouragans et aucun d’entre eux ne passe finalement sur cette magnifique île de la Martinique. En revanche il peut n’y en avoir qu’un, et s’il passe sur la Martinique vous direz : c’était une saison très difficile ! Le principal est que vous devez être préparés pour 1 ou pour 15 ouragans", rappelle Lixion Avila, prévisionniste en chef au Centre National des Ouragans à Miami (National Hurricane Center).
Un message martelé par tous les spécialistes de la météo d'Amérique du Nord, Amérique Centrale ou encore de la Caraïbe, présents. Peu importe la saison, et peu importe l’intensité des ouragans, le risque est toujours présent. Ainsi, pour mieux y faire face, nous devons toujours être prêts.
"Aujourd’hui ce que vous devez retenir c’est le changement climatique et le côté imprévisible du temps. La probabilité d’avoir des ouragans de plus en plus puissants est bien réelle. Mais restez toujours vigilants par rapport à ce qui se passe autour de vous. Car une petite tempête peut provoquer plus de précipitations et d’inondations, ce qui est tout aussi dangereux", précise Kathy-Ann Caesar, chef météorologiste au CIMH Barbados (Institut Caribéen de Météorologie et Hydrologie de la Barbade).
Avec le concours du National Hurricane Center (NHC) de Miami, la coopération mise en place dans notre région par l’organisation météorologique mondiale a déjà permis de diminuer l’impact du vent, des pluies et de la mer grâce à des prévisions de plus en plus fines et une coordination sans cesse améliorée.
Par ailleurs, la préservation des canaux de communication pendant et surtout après le cyclone est absolument cruciale.
Tout le monde doit se préparer...
Une annonce qui n’émeut aucun des spécialistes présents au comité des ouragans qui se déroule en Martinique pour la première fois depuis sa création en 1979. "La prochaine saison cyclonique ? Je n’ai rien à en dire tout de suite… je m’en fiche ! Et vous savez pourquoi ? Parce que je peux prévoir 15 ouragans et aucun d’entre eux ne passe finalement sur cette magnifique île de la Martinique. En revanche il peut n’y en avoir qu’un, et s’il passe sur la Martinique vous direz : c’était une saison très difficile ! Le principal est que vous devez être préparés pour 1 ou pour 15 ouragans", rappelle Lixion Avila, prévisionniste en chef au Centre National des Ouragans à Miami (National Hurricane Center).
Un message martelé par tous les spécialistes de la météo d'Amérique du Nord, Amérique Centrale ou encore de la Caraïbe, présents. Peu importe la saison, et peu importe l’intensité des ouragans, le risque est toujours présent. Ainsi, pour mieux y faire face, nous devons toujours être prêts.
"Aujourd’hui ce que vous devez retenir c’est le changement climatique et le côté imprévisible du temps. La probabilité d’avoir des ouragans de plus en plus puissants est bien réelle. Mais restez toujours vigilants par rapport à ce qui se passe autour de vous. Car une petite tempête peut provoquer plus de précipitations et d’inondations, ce qui est tout aussi dangereux", précise Kathy-Ann Caesar, chef météorologiste au CIMH Barbados (Institut Caribéen de Météorologie et Hydrologie de la Barbade).
Avec le concours du National Hurricane Center (NHC) de Miami, la coopération mise en place dans notre région par l’organisation météorologique mondiale a déjà permis de diminuer l’impact du vent, des pluies et de la mer grâce à des prévisions de plus en plus fines et une coordination sans cesse améliorée.
Par ailleurs, la préservation des canaux de communication pendant et surtout après le cyclone est absolument cruciale.