Lors du suivi hebdomadaire de l'association Naturalistes de Mayotte sur la fréquentation des tortues marines sur les plages de Saziley, l'association a de nouveau découvert un acte de braconnage sur la plage de Majicavo 4.
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Quatre nageoires et une queue sectionnées ont été retrouvées, partiellement enfouies dans le sable. Le reste du corps a dû être ensuite transporté à bord d’une embarcation pour finir le travail de découpe en mer ou à domicile.
Suite à cette série de découvertes macabres qui n’en finit plus, l’association souhaite faire réagir et mobiliser les pouvoirs publics pour mettre en place plus de moyens de surveillance nocturne sur les plages de Mayotte, et mener des investigations sur le commerce illégal de viande de tortue.
Pour aller dans ce sens, une pétition en ligne adressée à Mme Elisabeth Borne, ministre de la transition écologique et solidaire, et à Mme Annick Girardin, ministre des Outre-Mer, a été lancée le vendredi 29 mai. En quatre jours, la pétition compte déjà plus de 50.000 signatures.
La pétition doit servir à demander plus de moyens matériels et humains pour endiguer ce fléau, et à inviter la justice à prendre des sanctions exemplaires pour les braconniers, mais également les consommateurs qui entretiennent cette activité illégale.
Le jugement en appel des deux braconniers relâchés fin avril pour vice de procédure aura lieu le 9 juillet prochain.
Suite à cette série de découvertes macabres qui n’en finit plus, l’association souhaite faire réagir et mobiliser les pouvoirs publics pour mettre en place plus de moyens de surveillance nocturne sur les plages de Mayotte, et mener des investigations sur le commerce illégal de viande de tortue.
Pour aller dans ce sens, une pétition en ligne adressée à Mme Elisabeth Borne, ministre de la transition écologique et solidaire, et à Mme Annick Girardin, ministre des Outre-Mer, a été lancée le vendredi 29 mai. En quatre jours, la pétition compte déjà plus de 50.000 signatures.
La pétition doit servir à demander plus de moyens matériels et humains pour endiguer ce fléau, et à inviter la justice à prendre des sanctions exemplaires pour les braconniers, mais également les consommateurs qui entretiennent cette activité illégale.
Le jugement en appel des deux braconniers relâchés fin avril pour vice de procédure aura lieu le 9 juillet prochain.