La gendarmerie est intervenue en force, à Koumac, pour débloquer le site minier de la SLN à Tiébaghi. Depuis lundi, les quelque 215 employés et 400 sous-traitants ne pouvait pas y travailler. L’accès était barré par le «Mouvement des groupes révolutionnaires kanak», qui s'oppose notamment au référendum du 4 novembre. Une action dont les coutumiers de Koumac se sont désolidarisés.
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