Entre deux lointaines missions, l'Amborella ouvrait son pont

Une classe de l'école Suzanne-Russier à bord du navire scientifique.
Dix ans cette année que le lagon calédonien est inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco. Dans ce contexte, et celui du Festival dédié à l’image sous-marine, le bateau scientifique a laissé des visiteurs grand public monter à son bord. Découverte d’un navire aux multiples missions.
«On a appris que c’était assez confortable, l’Amborella.» «Qu’ils mettaient des puces sur des requins, des tortues. Qu’ils allaient sur des îlots très loin.» «Qu’ils mettent des balises sur les oiseaux, des oiseaux qui sont allés vers [la] Papouasie-Nouvelle-Guinée.» Voilà l’Amborella résumée par des CM2 de l’école Suzanne-Russier.
Le reportage de Karine Arroyo et Christian Favennec.
©nouvellecaledonie

Missions dans le parc de la mer de Corail

Accompagnés de leur institutrice, ces élèves de la Vallée-du-Génie, à Nouméa, ont pu exceptionnellement embarquer à bord du navire. Un navire scientifique de 49 tonnes, 24 mètres de long et sept de large. Son équipage de cinq marins, commandé par le capitaine Napoléon Colombani, effectue une douzaine de missions à l’année dans le parc naturel de la mer de Corail. Mais l’Amborella peut aussi accueillir cinq scientifiques, du monde entier.
Le reportage de Martine Nollet.

Plusieurs événements à marquer

La direction des Affaires maritimes de la Nouvelle-Calédonie a laissé le public, scolaire ou pas, le visiter pour marquer plusieurs événements: la dixième année d’inscription du lagon au patrimoine mondial, le Festival de l’image sous-marine mais aussi l’année internationale des récifs coralliens.

L'Amborella amarré au quai des Scientifiques, à la Moselle.