2023 a été une année compliquée pour l’Eveil océanien et ses dirigeants. Le parti du "non pas maintenant" et du "pacte de stabilité institutionnel" a essuyé quelques tempêtes. Maria Isabella Saliga-Lutovika a souhaité ne plus siéger sous l’étiquette du parti au Congrès.
Il y a surtout eu la réforme du Ruamm, portée à bout de bras par Veylma Falaeo et Milakulo Tukumuli, qui s’est heurtée à la colère de la rue…
Quel choix pour la présidence du Congrès ?
Ce dernier est l'invité du journal télévisé de ce dimanche soir. Le président de l'Eveil océanien sera interrogé sur ses attentes avant son départ pour Paris, où se tiendront des discussions sur l’avenir institutionnel du pays, début septembre.
Sera également évoquée la position du mouvement à trois jours du renouvellement de la présidence du Congrès. L'élection est programmée mercredi 30 août. Même avec seulement deux élus apparentés, l’Eveil océanien reste faiseur de roi pour départager indépendantistes et non-indépendantistes. Il a permis à Roch Wamytan, actuel président du Congrès, d'être élu quatre fois de suite.