Pour le chant d'arrivée, ils vont tous chanter en français. Ensuite, chaque école va le chanter dans une langue différente. Pour Yaté, l'école de Touaourou, Goro et Waho, il vont chanter en numèè. L'école de Unia, en djubea. L'école du Mont-Dore, en wallisien. L'école de Saint-Louis, en tayo. Et ils vont tous rechanter en français à la fin.
- Louis Ouetcho, intervenant en chant et en danse
Entamé l'an dernier
Le projet naît en 2019. Deux chefs d’établissements décident de réunir leurs élèves et leurs équipes éducatives. S'ensuivent deux rencontres mémorables, d'abord à Saint-Louis, puis au Vallon-Dore. Depuis, le programme pédagogique s’est développé.Au regard d'une actualité qui nous montre des enfants qui, parfois, ont un rapport difficile avec l'école et un rapport difficile avec l'autre, on a besoin de réagir par des projets de terrain. Et d'offrir toutes les conditions pour que les enfants puissent mieux se connaître, dès la maternelle, jusqu'au lycée.
- Manuéla Quirici, directrice de la maternelle Les Dauphins
Un reportage de Natacha Lassauce-Cognard et de Laura Schintu :
Ici, les préparatifs vus des Dauphins, par Sandra Machoro et Karine Bopp-Dupont :
La démarche expliquée depuis Yaté, par maîtresse Delphine et ses élèves : La vision du directeur de l'école de Waho, Jean-Charles Mei :