Municipales à Bourail : les projets de David Ugolini et l’Avenir en confiance

David Ugolini, soutenu par Brieuc Frogier et Sonia Backès.
A Bourail, l'Avenir en confiance a précisé sa liste pour les municipales. Baptisée «Renouveau pour Bourail», elle est menée par un ingénieur agronome de 34 ans, qui mise sur le social, l'écologie et l'amélioration du village.
Menée par David Ugolini, la liste «Renouveau pour Bourail» parie sur des projets modernes. Cet enfant de la commune souhaite renforcer la sécurité des habitants et dynamiser le secteur social, en soutenant les projets associatifs. 
 

Un nouveau cœur de village

Mais pour lui, la notion de mieux vivre ensemble passe avant tout par la création d’un nouveau cœur de village. Parmi les initiatives, une signalétique qui mettrait les commerces davantage en valeur, ou les encourager à organiser des événements en nocturne. «Pour ça, on propose le projet d'une halle qui va permettre à tous les commerçants de se réunir au même endroit, un même jour, avec une ambiance festive autour.» 
 
 

Vers un développement durable

Cet ingénieur en agronomie de 34 ans compte sur l’expérience de ses aînés. Ils sont agriculteur ou chef d’entreprise et s’engagent pour le développement durable. Ecotourisme, développement de l’agriculture biologique, installation de panneaux photovoltaïques… autant d’ambitions exprimées par David Ugolini et son équipe.
 

«Ecoles vertes»

Des ambitions où la jeunesse ne manque pas de trouver une place. «L’environnement, c’est avec les écoles vertes», développe Levay Roy, présent sur la liste. «On pourrait partir sur des projets en rapport avec la nature. Mettre ces petits bouts de chou les mains dans la terre et leur rappeler que la terre leur donnera toujours à manger… Si on prend soin d’elle, elle prendra soin de nous.»
 
 

Tournée vers le 6 septembre

Avec son slogan «Ensemble… parions sur l’avenir», la liste de l’Avenir en Confiance assume aussi pleinement «sa volonté de multiplier les communes loyalistes sur la côte Ouest» en vue du référendum du 6 septembre.  

Un reportage de Lizzie Carboni et Claude Lindor :
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