A Dumbéa, le pic aux chèvres a été la proie des flammes ce lundi après-midi. Après vingt-cinq largages de bombardiers d’eau, le feu a pu être fixé en fin de journée. Douze hectares sont partis en fumée. Selon les pompiers, un acte malveillant serait à l’origine de ce sinistre.
Et puis toujours à Dumbéa, dans l'après-midi de lundi, toujours, un autre incendie s’est déclaré à proximité du centre commercial Kenu In. Le feu, causé par un écobuage non contrôlé, a ravagé cinq hectares de végétation.
Allumage d'un feu en période d'interdiction
Même scénario à Bourail, où 200 hectares de végétation sont partis en fumée selon les estimations des gendarmes. Près de la tribu de Ero, le propriétaire d'une maison a mis le feu à ses déchets verts avant de quitter son habitation, pensant qu'il allait s'éteindre tout seul. Mais il a pris de l'ampleur et a ravagé la végétation alentour. L'homme est convoqué par les gendarmes pour incendie volontaire et allumage d'un feu en période d'interdiction. Le maire de Bourail ayant pris un arrêté pour limiter l'usage du feu.