Trois usines qui transforment le minerai. Mais de façons différentes, avec des montages, des contextes industriels et des réalités locales distinctes. Point commun, elles restent au cœur de l'économie calédonienne, mais se trouvent dans une situation financière très préoccupante.
À l'usine du Sud
L’usine du Grand Sud calédonien a été la première à recevoir Bruno Le Maire, avec le ministre de l'Intérieur et des Outre-mer Gérald Darmanin. C'était le samedi 25 novembre. Le complexe hydrométallurgique est piloté par le consortium Prony resources, à cheval sur les communes du Mont-Dore et de Yaté. Environ 1 200 salariés.
Reportage de Charlotte Mannevy et Gaël Detcheverry
À l'usine du Nord
Destination suivante, cette fois pour le seul ministre de l'Economie, dimanche 26 novembre : l’usine du Nord, site pyrométallurgique géré par Koniambo nickel SAS, à Vavouto, sur la commune de Voh. Environ 1 350 salariés.
Reportage de Camille Mosnier et Nathan Poaouteta
À l'usine de Doniambo
Troisième étape, l'usine SLN de Doniambo, au cœur de Nouméa. La plus ancienne des installations, pyrométallurgique, aux mains de la Société Le Nickel. Environ 2 200 salariés. Bruno Le Maire s'y est rendu le lundi 27 novembre, le temps de s'entretenir avec la direction, notamment. Il a reçu un accueil syndical.
Reportage d'Angela Palmieri et Claude Lindor
Après cette tournée des usines, place à un important groupe de travail sur le nickel, qui s'est tenu l'après-midi du 27 novembre, au haut-commissariat.
>> À retrouver dans notre récit de la journée
Après la tournée, le projet
En conclusion de son déplacement, Bruno Le Maire en a dit davantage sur son projet d'accord pour sauver la filière nickel calédonienne.
Synthèse par Bernard Lassauce et Cédric Michaut