Le ministre de la Santé est intervenu suite à la déclaration du président du Pays pour annoncer le premier cas de coronavirus en Polynésie. Jacques Raynal a rappelé les mesures de précautions à prendre et la signification du stade 1 soit "faire en sorte que ce virus reste à Tahiti".
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Jacques Raynal est intervenu à la suite de la déclaration d'Edouard Fritch, qui a annoncé le premier cas de coronavirus en Polynésie. Le ministre de la Santé a rappelé les mesures de précautions comme éviter les rassemblements, d'embrasser les personnes. "Ce sont des mesures simples mais qui nécessitent d'être répétées". Selon le ministre, ce mercredi lors du conseil des ministres, un arreté a été pris autorisant les pharmaciens à fabriquer les solutions hydro-alcooliques. "Les tarifs seront contingentés. Personne n'aura intérêt à gagner sa vie sur la misère du peuple".
Depuis la déclaration de ce premier cas, la Polynésie est passé au stade 1. Ce stade un moyen de mobiliser des équipes pour faire en sorte que ce virus reste à Tahiti et se propage le moins possible. "On augmente les recommandations et incite la population à éviter les grands rassemblements et appliquer les mesures de précautions (...) Mais on sait qu'en matière infectieuse, c'est toujours difficile de savoir comment ça va se passer. Surtout qu'il peut y avoir des porteurs sains, qui ne le développent pas mais transmettre le virus. Le stade 2 on y passera si le virus se propage dans d'autres îles".
Jacques Raynal est également revenu sur les propos du directeur de l'OMS, qui a déclaré que le plus dangereux n'est pas le virus mais la rumeur. "Cette épidémie fait l'objet de nombreux communiqués. Il faut calmer le jeu. Ce virus fait partie d'une famille qui est connue depuis longtemps : le coronavirus, donc un virus sous forme de couronne. Dans cette famille, on a un virus qui donne une rhinopharyngite aux enfants ou la grippe éventuellement. Celui-ci, le covid-19, est un virus qui infecte très peu, il faut être dans un rapport rapproché pour pouvoir le contracter. C'est un frein à l'infection. Ensuite, il donne des signes d'une maladie qui n'est pas grave, en général : grippe, toux sèche, rhinopharyngite... Mais dans des cas particuliers, des personnes qui sont déjà souffrantes, il peut entraîner la mort car il y a une infllamation très importantes des cellules qui se créent et cette inflammation qui est difficile à réduire (...) Si on regarde les taux de mortalité, pour ce qui concerne ce virus, elles sont faibles".
Depuis la déclaration de ce premier cas, la Polynésie est passé au stade 1. Ce stade un moyen de mobiliser des équipes pour faire en sorte que ce virus reste à Tahiti et se propage le moins possible. "On augmente les recommandations et incite la population à éviter les grands rassemblements et appliquer les mesures de précautions (...) Mais on sait qu'en matière infectieuse, c'est toujours difficile de savoir comment ça va se passer. Surtout qu'il peut y avoir des porteurs sains, qui ne le développent pas mais transmettre le virus. Le stade 2 on y passera si le virus se propage dans d'autres îles".
Jacques Raynal est également revenu sur les propos du directeur de l'OMS, qui a déclaré que le plus dangereux n'est pas le virus mais la rumeur. "Cette épidémie fait l'objet de nombreux communiqués. Il faut calmer le jeu. Ce virus fait partie d'une famille qui est connue depuis longtemps : le coronavirus, donc un virus sous forme de couronne. Dans cette famille, on a un virus qui donne une rhinopharyngite aux enfants ou la grippe éventuellement. Celui-ci, le covid-19, est un virus qui infecte très peu, il faut être dans un rapport rapproché pour pouvoir le contracter. C'est un frein à l'infection. Ensuite, il donne des signes d'une maladie qui n'est pas grave, en général : grippe, toux sèche, rhinopharyngite... Mais dans des cas particuliers, des personnes qui sont déjà souffrantes, il peut entraîner la mort car il y a une infllamation très importantes des cellules qui se créent et cette inflammation qui est difficile à réduire (...) Si on regarde les taux de mortalité, pour ce qui concerne ce virus, elles sont faibles".