Le 12 mars dernier, la cour d’appel a confirmé les peines prononcées par le tribunal correctionnel à l’encontre de l’homme d’affaires et de l’ex-gérant du Ute Ute. Mais, ils se sont pourvus en cassation et demandent maintenant leur libération.
•
Thierry Barbion et Marc Ramel étaient respectivement poursuivis pour corruption de mineurs et recours à la prostitution de mineurs pour l’un et atteintes sexuelles sur mineur de moins de 15 ans et cession de stupéfiants pour l’autre. Thierry Barbion et Marc Ramel sont en prison depuis trois mois. Un mandat de dépôt a été prononcé à leur encontre le 12 mars dernier quand la cour d’appel a prononcé leurs condamnations.
Ce jour-là, arrivés libres, sous contrôle judiciaire, ils ont quitté, menottés, le palais de justice direction la prison. Mais après l’arrêt rendu par les magistrats, les deux hommes se sont pourvus en cassation. C’est la raison pour laquelle, aujourd’hui, ils demandent leur mise en liberté. Leur incarcération actuelle étant considérée comme une détention provisoire même s’ils ont été condamnés en première instance et que les peines ont été confirmées en appel.
Ils bénéficient de la présomption d’innocence tant qu’ils n’ont pas épuisé tous les moyens de recours. L’audience de la cour d’appel sur la demande de mise en liberté de Thierry Barbion et de Marc Ramel aura lieu à 14h, ce jeudi 11 juin, par visio-conférence. Thierry Barbion conteste les faits.
Pour rappel, Thierry Barbion et Marc Ramel avait écopé de 4 ans de prison ferme. Sabine Boiron, autre personnage central de ce vaste dossier et condamnée, elle, à 7 ans de prison pour proxénétisme aggravé et cession de stupéfiants, ne demande pas sa mise en liberté et ne s’est pas pourvue en cassation.
Ce jour-là, arrivés libres, sous contrôle judiciaire, ils ont quitté, menottés, le palais de justice direction la prison. Mais après l’arrêt rendu par les magistrats, les deux hommes se sont pourvus en cassation. C’est la raison pour laquelle, aujourd’hui, ils demandent leur mise en liberté. Leur incarcération actuelle étant considérée comme une détention provisoire même s’ils ont été condamnés en première instance et que les peines ont été confirmées en appel.
Sabine Boiron ne demande pas sa mise en liberté
Ils bénéficient de la présomption d’innocence tant qu’ils n’ont pas épuisé tous les moyens de recours. L’audience de la cour d’appel sur la demande de mise en liberté de Thierry Barbion et de Marc Ramel aura lieu à 14h, ce jeudi 11 juin, par visio-conférence. Thierry Barbion conteste les faits.
Pour rappel, Thierry Barbion et Marc Ramel avait écopé de 4 ans de prison ferme. Sabine Boiron, autre personnage central de ce vaste dossier et condamnée, elle, à 7 ans de prison pour proxénétisme aggravé et cession de stupéfiants, ne demande pas sa mise en liberté et ne s’est pas pourvue en cassation.