Le jeune adolescent, accusé d'avoir porté les coups mortels contre Maui, a demandé pardon à sa victime. Ecrits depuis la prison, ces mots ont été lus par la famille lors de la prière, mercredi 21 décembre, quelques minutes avant l'inhumation du corps de Maui.
•
"J'ai le regret de tout ce que j'ai fait mais comme on le dit ce qui est fait est fait. J'ai fait une grosse erreur, c'est normal que je sois sévèrement puni par la loi". Ces quelques mots sont issus d'une lettre de pardon du meurtrier présumé du jeune Maui, décédé sous les coups dimanche 18 décembre, à Maharepa sur l'île soeur. "Pour moi je demande pardon Maui, pardon Maui".
Mercredi 21 décembre, ces quelques mots ont été lus par la famille du suspect, un jeune mineur de 13 ans, dans la salle de prière de Tiaia à Moorea. Peu de temps avant le cortège funéraire et l'inhumation de Maui, un ami du suspect. Incarcéré à Nuutania, le jeune homme a transmis cette lettre à sa famille afin qu'elle soit lue devant les proches de Maui.
Bouleversés par cette mort brutale, les jeunes de Maharepa, dont était originaire la victime, sont venus nombreux pour rendre un dernier hommage à leur ami, mercredi, lors de l'inhumation. Selon eux, la victime et le meurtrier présumé, qui a été mis en examen pour "coups mortels ayant entrainé la mort sans intention de la donner", étaient amis. "Tous les deux étaient appréciés dans le quartier", ont-ils confié.
Mercredi 21 décembre, ces quelques mots ont été lus par la famille du suspect, un jeune mineur de 13 ans, dans la salle de prière de Tiaia à Moorea. Peu de temps avant le cortège funéraire et l'inhumation de Maui, un ami du suspect. Incarcéré à Nuutania, le jeune homme a transmis cette lettre à sa famille afin qu'elle soit lue devant les proches de Maui.
Bouleversés par cette mort brutale, les jeunes de Maharepa, dont était originaire la victime, sont venus nombreux pour rendre un dernier hommage à leur ami, mercredi, lors de l'inhumation. Selon eux, la victime et le meurtrier présumé, qui a été mis en examen pour "coups mortels ayant entrainé la mort sans intention de la donner", étaient amis. "Tous les deux étaient appréciés dans le quartier", ont-ils confié.