Syndicats et direction du CHU sont réunis ce mercredi 14 février dans les locaux du siège à Saint-Paul pour un CTE exceptionnel. Une rencontre attendue par les organisations syndicales, dont FO et la CFTC qui sont en grève depuis près d’une semaine.
Alors qu’une partie des syndicats de l’établissement, FO Santé et la CFTC, sont en grève suite à la validation du plan de retour à l’équilibre de la direction par le Copermo le 31 janvier dernier, un Comité Technique d’Etablissement exceptionnel se tient ce mercredi 14 février au siège du CHU à Saint-Paul.
Première à appeler à la mobilisation, à la veille du Copermo, le 30 janvier donc, la CFDT Santé, présente lors de ce comité, a elle suspendue sa grève suite à une rencontre avec la direction de l’établissement. Lionel Calenge, le directeur, ayant pris des engagements.
Des engagements que les autres syndicats veulent maintenant voir se confirmer, par écrit. Parmi eux, figureraient des points relatifs à l’embauche des contractuels, et plus largement à leur avenir, car ils sont actuellement près de 1 200 employés. L’hôpital de Cilaos est aussi dans la balance. Seule certitude, l’ARS a acté l’accompagnement financier des départs volontaires à la retraite, reste à la direction à l’inscrire noir sur blanc.
Mais, les syndicats veulent surtout obtenir le chiffrage de l’investissement attribué lors du Copermo. En clair, ils veulent savoir où les économies seront faites et quels services risquent d’être impactés. Au lendemain du Copermo, l’ARS s’était engagée à ce que « sous l’égide de la direction du CHU, la communauté médicale et les représentants des personnels soient sollicités en continu sur les grands choix stratégiques comme sur les étapes de mise en œuvre du plan ».
Ce CTE exceptionnel ne serait-il l’occasion pour la direction du CHU de manifester sa bonne foi en la matière ?
Première à appeler à la mobilisation, à la veille du Copermo, le 30 janvier donc, la CFDT Santé, présente lors de ce comité, a elle suspendue sa grève suite à une rencontre avec la direction de l’établissement. Lionel Calenge, le directeur, ayant pris des engagements.
Des engagements que les autres syndicats veulent maintenant voir se confirmer, par écrit. Parmi eux, figureraient des points relatifs à l’embauche des contractuels, et plus largement à leur avenir, car ils sont actuellement près de 1 200 employés. L’hôpital de Cilaos est aussi dans la balance. Seule certitude, l’ARS a acté l’accompagnement financier des départs volontaires à la retraite, reste à la direction à l’inscrire noir sur blanc.
Mais, les syndicats veulent surtout obtenir le chiffrage de l’investissement attribué lors du Copermo. En clair, ils veulent savoir où les économies seront faites et quels services risquent d’être impactés. Au lendemain du Copermo, l’ARS s’était engagée à ce que « sous l’égide de la direction du CHU, la communauté médicale et les représentants des personnels soient sollicités en continu sur les grands choix stratégiques comme sur les étapes de mise en œuvre du plan ».
Ce CTE exceptionnel ne serait-il l’occasion pour la direction du CHU de manifester sa bonne foi en la matière ?