Clément Dubar et Antony Cayambo devaient être jugés, ce mardi après-midi par le tribunal correctionnel de Saint-Denis pour avoir participé activement aux dégradations de trois restaurants de bord de plage. Le procès est reporté au 1er octobre 2018.
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Le procès des dégradations des paillotes de l'Hermitage a déplacé les foules. Antony Cayambo et Clément Dubar devaient être jugés pour avoir dégradé trois restaurants installés au bord du lagon, c'était le dimanche 8 avril 2018 lors d'une manifestation organisée par le Koléktif Union Rényoné Résponsab (KURR). Le procès est reporté au 1er octobre 2018 faute d'une salle adaptée. Le contrôle judiciaire des deux mis en cause est maintenu mais allégé, l'interdiction de se rendre à Saint-Gilles a été levée, mais pas celle de se rendre sur les plages.
Le procès des dégradations, et pas celui, des paillotes
Depuis le début de l'année, les commerces en question sont la cible des manifestants qui dénoncent leur installation illégale sur le littoral. Au cours de ce procès, s'il se tient, il sera question des Autorisation Temporaires du domaine maritime qui ont été délivrées par la mairie de Saint-Paul et validées par la préfecture, mais suspendues par le tribunal Administratif. Cependant, les magistrats du tribunal correctionnel ne sont pas saisis sur la question de la légalité de l'existence des paillotes, mais des dégradations effectuées par les prévenus. Un dossier sensible qui pourrait ne pas être jugé, ce mardi !
Le procès des dégradations, et pas celui, des paillotes
Depuis le début de l'année, les commerces en question sont la cible des manifestants qui dénoncent leur installation illégale sur le littoral. Au cours de ce procès, s'il se tient, il sera question des Autorisation Temporaires du domaine maritime qui ont été délivrées par la mairie de Saint-Paul et validées par la préfecture, mais suspendues par le tribunal Administratif. Cependant, les magistrats du tribunal correctionnel ne sont pas saisis sur la question de la légalité de l'existence des paillotes, mais des dégradations effectuées par les prévenus. Un dossier sensible qui pourrait ne pas être jugé, ce mardi !