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La SLN réagit après l’arrêté de la Province Nord qui lui ordonne de suspendre ses travaux préparatoires sur les nouveaux gisements à Kouaoua. Un arrêté qui intervient dans le cadre du conflit qui oppose des jeunes de Kouaoua aux coutumiers de la zone. Des jeunes qui bloquent le centre minier de la SLN depuis le 6 août dernier.
La SLN indique dans un communiqué qu’elle « procède à une évaluation des impacts de cette décision sur l’activité du site, ses salariés et ses partenaires à Kouaoua et sur ses autres mines, et sur la survie de l’Entreprise. »
Une réunion extraordinaire du Comité Central d’Entreprise est programmée lundi 10 septembre afin de faire le point sur cette situation avec les représentants du personnel.
La Province Nord avait autorisé la SLN à exploiter les gisements de « Montcalm », « Chênes Gommes » et « Newco » en mars dernier, après avis favorable des coutumiers.
Mais des jeunes des tribus concernées avaient érigé des barrages pour protester contre ces autorisations, en invoquant des questions environnementales.
La SLN prend acte du nouvel arrêté et se mettre en conformité avec les prescriptions imposées mais rappelle que « l’impact sur la production SLN est immédiat et va se poursuivre sur 2019 où ces gisements devaient apporter 40% de la production du centre de Kouaoua. ». Elle rappelle également la mise en place du chômage partiel et que 400 emplois sont en danger.
Retrouvez l'intégralité du communiqué ci-dessous :
La SLN indique dans un communiqué qu’elle « procède à une évaluation des impacts de cette décision sur l’activité du site, ses salariés et ses partenaires à Kouaoua et sur ses autres mines, et sur la survie de l’Entreprise. »
Une réunion extraordinaire du Comité Central d’Entreprise est programmée lundi 10 septembre afin de faire le point sur cette situation avec les représentants du personnel.
La Province Nord avait autorisé la SLN à exploiter les gisements de « Montcalm », « Chênes Gommes » et « Newco » en mars dernier, après avis favorable des coutumiers.
Mais des jeunes des tribus concernées avaient érigé des barrages pour protester contre ces autorisations, en invoquant des questions environnementales.
La SLN prend acte du nouvel arrêté et se mettre en conformité avec les prescriptions imposées mais rappelle que « l’impact sur la production SLN est immédiat et va se poursuivre sur 2019 où ces gisements devaient apporter 40% de la production du centre de Kouaoua. ». Elle rappelle également la mise en place du chômage partiel et que 400 emplois sont en danger.
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