Des collages sur les murs de Paris en mémoire des deux Mondoriennes tuées début janvier

Les collages apparus en face de la MNC, dans le 1er arrondissement de Paris.

Le dimanche 3 janvier, au Mont-Dore, une mère et sa fille de seize ans étaient tuées au fusil par le compagnon de celle-ci. Un jeune homme de dix-neuf ans qui a reconnu les faits. Le couple venait d’avoir un bébé. Le drame a ému la Calédonie. Une marche a aussi été organisée le week-end suivant, à Nouméa, pour faire réagir la sphère politique à la cause des violences faites aux femmes. 

Près de la Maison de la Nouvelle-Calédonie

Et l'onde de choc a résonné jusque dans l’Hexagone. Ce samedi après-midi, heure de Paris, la mémoire des deux Mondoriennes a été honorée et leur mort, dénoncée, par des collages autour de la Maison de la Nouvelle-Calédonie. Une action revendiquée par le groupe d'activistes féministes L’Amazone.