Il s'est présenté aux législatives en 2017 (0,41 % des votes) et 2022 (0,3 %). Manuel Millar a aussi été en lice pour les sénatoriales 2017 (neuf grands électeurs), et il réitère. L'homme, âgé de 66 ans, se présente en quelque sorte comme un sauveur, qui défend le traitement des problèmes de société par le recours à de bonnes énergies.
"Les énergies majoritaires dans le monde sont mauvaises", indique sa profession de foi. "Je suis candidat aux élections car je prouve qu’en luttant uniquement contre ces mauvaises énergies sans aucun moyen matériel, l’amélioration mondiale devient la norme pour tout.” Une méthode qu’il assure mettre en usage contre la mortalité routière, la délinquance ou encore les crises économiques.
"Mon rôle est d'offrir le choix au pays"
"Nous unir autour d’une énergie bénéfique à tous est la meilleure façon de construire un destin commun, écrit-il aussi. Mon rôle est d’offrir le choix au pays d’accepter ou de refuser cette énergie incontestable et l’intérêt d’être sénateur permettra de l’offrir beaucoup plus rapidement à la Nouvelle-Calédonie, à la France et à l’Europe, puis au monde !”
Sa suppléante s’appelle Isabelle Jacob, 75 ans. Sans étiquette, Manuel Millar porte une association appelée Cœur de l’humanité. Sur son site, on peut lire : “Je prouve par des démonstrations formelles que l’univers de la voyance est la cause principale de tous les fléaux incurables.”
Sept en tout
Les six autres candidats sont : Pierre Frogier, Georges Naturel, Sonia Backès, Gérard Poadja, Macate Wenehoua et Robert Xowie.