Auteur de « Rhapsodie Jazz pour Damas », la journaliste et universitaire Catherine Le Pelletier évoque son itinéraire professionnel et parle du parcours de Léon-Gontran Damas.
Elle est intarissable lorsqu’il s’agit d’évoquer la mémoire de Léon-Gontran Damas, qu’elle nomme « le Guyanais essentiel ». Nous l’avions rencontrée au Salon du livre de Paris, en mars 2012, où elle participait à une table ronde consacrée à l’écrivain co-fondateur du mouvement de la négritude. Catherine Le Pelletier, qui est elle-même guyanaise, vient donc de publier son ouvrage, « Rhapsodie Jazz pour Damas » qui est sorti des rotatives à la fin octobre aux éditions Idem.
« C’est un roman historique », précise Catherine Le Pelletier. « Un roman basé sur l’œuvre et la vie de Damas dans lequel toutes les choses référencées sont exactes, et prennent appui sur des faits et des personnages réels. Il y a seulement 20 % de fiction. » Pour écrire son livre, l’auteur s’est appuyée sur de multiples témoignages directs et indirects, ainsi que sur de nombreuses archives, dont des écrits moins connus de Damas, parus dans des journaux politiques de Guyane.
L’ouvrage revient sur la vie et l’œuvre de Damas en Guyane, puis à Paris, où il a eu une vie intellectuelle et artistique très dense, mais également aux Etats-Unis, où le poète guyanais termina sa carrière comme professeur à l’université Howard de Washington. « C’est ce parcours complètement atypique que je raconte, en espérant faire ressortir sa verve singulière, et la sympathie qu’il générait. J’ai pris beaucoup de plaisir à écrire ce livre », explique Catherine Le Pelletier. « C’est d’un Damas vivant dont je veux témoigner dans ce roman ».
L’auteur n’en est pas à son premier livre. La journaliste a déjà publié sept ouvrages, dont les remarqués « Michel Lohier, régionaliste et folkloriste guyanais » (éditions Ibis Rouge, 2008) et un « questions-réponses » sur la Guadeloupe, « KaruQuizz » (éditions Nestor, 2008).
« C’est un roman historique », précise Catherine Le Pelletier. « Un roman basé sur l’œuvre et la vie de Damas dans lequel toutes les choses référencées sont exactes, et prennent appui sur des faits et des personnages réels. Il y a seulement 20 % de fiction. » Pour écrire son livre, l’auteur s’est appuyée sur de multiples témoignages directs et indirects, ainsi que sur de nombreuses archives, dont des écrits moins connus de Damas, parus dans des journaux politiques de Guyane.
L’ouvrage revient sur la vie et l’œuvre de Damas en Guyane, puis à Paris, où il a eu une vie intellectuelle et artistique très dense, mais également aux Etats-Unis, où le poète guyanais termina sa carrière comme professeur à l’université Howard de Washington. « C’est ce parcours complètement atypique que je raconte, en espérant faire ressortir sa verve singulière, et la sympathie qu’il générait. J’ai pris beaucoup de plaisir à écrire ce livre », explique Catherine Le Pelletier. « C’est d’un Damas vivant dont je veux témoigner dans ce roman ».
L’auteur n’en est pas à son premier livre. La journaliste a déjà publié sept ouvrages, dont les remarqués « Michel Lohier, régionaliste et folkloriste guyanais » (éditions Ibis Rouge, 2008) et un « questions-réponses » sur la Guadeloupe, « KaruQuizz » (éditions Nestor, 2008).