Le documentaire événement sur Bob Marley est sorti dans les salles. Regardez un extrait vidéo.
Images inédites, interviews de membres de sa famille, d’amis et d’ex-membres de son groupe The Wailers, le documentaire fleuve (2h25) de Kevin MacDonald nous fait revivre l’itinéraire exceptionnel de l’icône du reggae jamaïcain, décédé d’un cancer en mai 1981 à l’âge de 36 ans.
A travers le film et les multiples témoignages se dessine une image plus précise du charismatique musicien. C’est l’un des intérêts de ce documentaire qui révèle des aspects peu connus de la personnalité de l’artiste, de son enfance, et certains de ses travers.
Kevin MacDonald montre également l’arrière plan sociologique et politique de la Jamaïque de l’époque, notamment la pauvreté, la violence et le gangstérisme, l’émergence du mouvement rastafari et son influence sur la société. On verra aussi des images d’archives inédites des voyages de Bob Marley en Afrique, la première fois au Gabon à l’invitation de feu le président Omar Bongo (!) et les scènes désormais célèbres de son concert célébrant l’indépendance du Zimbabwe en 1980.
En dépit de la longueur du documentaire, parfois construit comme un photomontage, on ne s’ennuie pas une seconde. Admirateur ou pas de Marley, le souffle de l’émotion est au rendez-vous, et l’on apprend une multitude de choses sur la société jamaïcaine. A ne pas manquer.
A travers le film et les multiples témoignages se dessine une image plus précise du charismatique musicien. C’est l’un des intérêts de ce documentaire qui révèle des aspects peu connus de la personnalité de l’artiste, de son enfance, et certains de ses travers.
Kevin MacDonald montre également l’arrière plan sociologique et politique de la Jamaïque de l’époque, notamment la pauvreté, la violence et le gangstérisme, l’émergence du mouvement rastafari et son influence sur la société. On verra aussi des images d’archives inédites des voyages de Bob Marley en Afrique, la première fois au Gabon à l’invitation de feu le président Omar Bongo (!) et les scènes désormais célèbres de son concert célébrant l’indépendance du Zimbabwe en 1980.
En dépit de la longueur du documentaire, parfois construit comme un photomontage, on ne s’ennuie pas une seconde. Admirateur ou pas de Marley, le souffle de l’émotion est au rendez-vous, et l’on apprend une multitude de choses sur la société jamaïcaine. A ne pas manquer.