C'est le groupe français Eiffage qui est retenu pour construire la future centrale au charbon qui doit alimenter en électricité l'usine de traitement de minerai de la Société Le Nickel (SLN), filiale d'Eramet, a fait savoir jeudi le groupe minier se refusant à donner plus de précision.
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La décision finale d'investissement de ce projet reste prévue au deuxième trimestre 2015, ajoute Eramet dans un communiqué transmis uniquement à la presse financière. Après examen approfondi, le conseil d'administration du groupe, qui s'est réuni avant hier, et celui de la SLN réuni ce jour à Nouméa ont décidé de retenir le groupe Eiffage comme 'preferred bidder'.
Première conséquence, le cours de l'action Eramet, en forte baisse dans le sillage du nickel, a été stabilisé. La nouvelle centrale de type "green power" devrait permettre de réduire la pollution et surtout les coûts de production du nickel, dont les cours viennent de rechuter brutalement sur la barre des 16 000 dollars la tonne à la bourse des métaux de Londres (LME).
Trois offres concurrentes
Ce choix intervient après examen de trois offres concurrentes pour cette centrale qui prendra le relais de la centrale actuelle à Doniambo, dans la rade de Nouméa. C'est une étape essentielle dans la bataille de compétitivité engagée par la SLN, qui est la plus ancienne société au monde pour la métallurgie du nickel.Première conséquence, le cours de l'action Eramet, en forte baisse dans le sillage du nickel, a été stabilisé. La nouvelle centrale de type "green power" devrait permettre de réduire la pollution et surtout les coûts de production du nickel, dont les cours viennent de rechuter brutalement sur la barre des 16 000 dollars la tonne à la bourse des métaux de Londres (LME).
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