La Mini-Transat, créée il y a 40 ans, est une course en solitaire pas comme les autres. Amateurs et pros la disputent. Les plus grands marins y sont passés. Cette année, la course compte deux ultramarins : le Guadeloupéen Keni Piperol et le Polynésien Guillaume Combescure.
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Le départ de cette transatlantique sera donné dimanche à La Rochelle pour les 81 skippers, dont 10 femmes, à bord de petits voiliers (6,50 m) et à destination du Marin en Martinique, via une escale à Las Palmas de Gran Canaria (Espagne), soit 4050 milles de course (7500 km). Les meilleurs mettront une semaine environ pour atteindre l'Espagne et 2 semaines pour toucher au but de ce rendez-vous bisannuel.
Après la Transat AG2R l'an dernier, le marin Guadeloupéen Keni Piperol va se lancer un deuxième défi sur l'Atlantique, cette fois-ci en solitaire, sur un tout petit bateau de 6,50. Ses parents et son directeur sportif sont derrière lui. Regardez le reportage d'Eric Cintas et d'Emmanuel Morel :
Guillaume Combescure en avait rêvé, le voilà donc au départ de la Mini Transat à La Rochelle. Le skipper Polynésien, originaire du Yacht Club d’Arue, prend cette course comme un défi personnel, mais avec l'ambition de faire un résultat. Regardez le reportage d'Eric Cintas et Emmanuel Morel:
⏰ C'est l'heure du dernier briefing pour les 81 concurrents de la #MiniTransatLaBoulangere avant le départ demain !#EnRoutePourLeMarin pic.twitter.com/bA0UMn6HTd
— Mini Transat 2017 (@MiniTransat2017) 30 septembre 2017
Deuxième défi sur l'Atlantique
Après la Transat AG2R l'an dernier, le marin Guadeloupéen Keni Piperol va se lancer un deuxième défi sur l'Atlantique, cette fois-ci en solitaire, sur un tout petit bateau de 6,50. Ses parents et son directeur sportif sont derrière lui. Regardez le reportage d'Eric Cintas et d'Emmanuel Morel :
D'Arue à La Rochelle
Guillaume Combescure en avait rêvé, le voilà donc au départ de la Mini Transat à La Rochelle. Le skipper Polynésien, originaire du Yacht Club d’Arue, prend cette course comme un défi personnel, mais avec l'ambition de faire un résultat. Regardez le reportage d'Eric Cintas et Emmanuel Morel: