Christophe Gavat, écrivain et commissaire divisionnaire en poste en Guadeloupe, a remporté mardi le prix du Quai des Orfèvres pour son roman "Cap Canaille", ont annoncé le préfet de police de Paris et les éditions Fayard.
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En raison du confinement sur toute la France, le prix, traditionnellement proclamé à la direction régionale de la Police judiciaire à Paris, n'a pas pu l'être cette année.
Né en 1966, Christophe Gavat a une longue expérience dans la police et l'enquête criminelle. Il avait raconté dans "96 heures, un commissaire en garde à vue" son interpellation dans le cadre de l'affaire Neyret, du nom de son collègue lyonnais condamné pour association de malfaiteurs et corruption. Christophe Gavat, pour sa part, avait finalement été relaxé.
"Cap Canaille" détaille l'enquête d'un ancien du 36 Quai des Orfèvres, en poste à Marseille, sur un assassinat qui ressemble à un règlement de comptes entre trafiquants de drogue, mais qui se révélera autre chose.
Créé en 1946, le prix du Quai des Orfèvres récompense chaque automne un polar, avec un jury de 21 policiers, magistrats, avocats et journalistes.
Il se prononce sur une sélection de manuscrits anonymes, pour ne considérer que l'intérêt du texte et de l'intrigue, dans le respect des procédures et des vraisemblances policières, scientifiques et judiciaires. Fayard publie ensuite le titre choisi.
Né en 1966, Christophe Gavat a une longue expérience dans la police et l'enquête criminelle. Il avait raconté dans "96 heures, un commissaire en garde à vue" son interpellation dans le cadre de l'affaire Neyret, du nom de son collègue lyonnais condamné pour association de malfaiteurs et corruption. Christophe Gavat, pour sa part, avait finalement été relaxé.
"Cap Canaille" détaille l'enquête d'un ancien du 36 Quai des Orfèvres, en poste à Marseille, sur un assassinat qui ressemble à un règlement de comptes entre trafiquants de drogue, mais qui se révélera autre chose.
Créé en 1946, le prix du Quai des Orfèvres récompense chaque automne un polar, avec un jury de 21 policiers, magistrats, avocats et journalistes.
Il se prononce sur une sélection de manuscrits anonymes, pour ne considérer que l'intérêt du texte et de l'intrigue, dans le respect des procédures et des vraisemblances policières, scientifiques et judiciaires. Fayard publie ensuite le titre choisi.