Festival La 1ère
Résumé
Découvrez une partie de l'offre documentaire proposé par le pôle Outre-mer de France Télévisions au festival La 1ère à Marseille.
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Une Odyssée
Trois générations d’artistes, dans le cadre d’une scénographie mêlant son et lumière portée par l’artiste guyanaise Sisley Loubet, revisitent l’histoire de la musique, de la tradition aux bâtisseurs, en passant par les nouvelles générations. Ce spectacle offre un regard sur l’histoire, l’héritage et l’essence de la musique et de la danse des territoires d’Outre-mer. Cette identité, formée d’entrelacs de cultures métissées par leurs origines et leurs influences diverses qui convergent entre elles, pour rayonner par-delà les océans. Les artistes avaient répondu présents derrière le maestro Tony Chasseur : Roger Raspail, Yann Villageois, Jean-Philippe Grivalliers, Jocelyne Béroard, Jean-Claude Naimro, Jean-Michel Rotin, Admiral T, DJ Killerz, Chris Combette, Zily, Sya, Were Vana, Mapy, Saifa.
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Festival La 1ère à Marseille - La spéciale 2 juin
Dernière journée du Festival La 1ère à Marseille
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Festival La 1ère à Marseille - La spéciale 1er juin
Troisième journée du festival la 1ère
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Festival La 1ère à Marseille - La spéciale 31 mai
Deuxième journée du Festival La 1ère
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Festival La 1ère à Marseille - La spéciale 30 mai
Laurence Théatin nous présente la première journée du Festival La 1ère à Marseille
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Compagnie créole, un bal manqué
C’est l’histoire d’un succès fulgurant, celui de quatre Antillais et d’un Guyanais propulsés en haut des charts au début des années 1980, avec une chanson devenue culte : « C’est bon pour le moral ». Après 40 ans de carrière, le public danse toujours au rythme de la Compagnie Créole qui a vendu plus de 60 millions de disques. Mais c’est aussi le récit d’un rendez-vous manqué, car ce groupe qui porte le nom « La Compagnie Créole » s’attire les foudres d’une partie des communautés antillaises et guyanaise. Trop formatés, trop clichés, avec des textes en français peu représentatifs de leur culture : on leur reproche de n’être qu’un produit qui instrumentalise la créolité à des fins mercantiles. Tandis qu’en métropole on exulte et on danse sur « Ma première biguine partie » ou « Ça fait rire les oiseaux », bien loin des réelles préoccupations sociales, politiques et culturelles de l'outre-mer. Une double réception, de part et d’autre de l’Atlantique, et des protagonistes qui, pour la première fois, reviennent sur leur histoire, leur ressenti, l’incompréhension, la déception, mais surtout le succès grisant, et la certitude d’avoir, quelque part, ouvert la voie à d’autres artistes, d’autres musiques du monde. A travers les témoignages des membres de la Compagnie, de leur producteur et de leur auteur, mais aussi de sociologues, d'historiens et d’autres artistes antillais, nous allons dévoiler et interroger cette fracture pour mieux la comprendre, et savoir si elle est toujours d’actualité.
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Archipels Réunion
Michel Debré et La Réunion, dérives d'une ambition républicaine. Émission du mercredi 25 octobre 2023
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Itinéraires
Éloi Machoro, itinéraire d'un combattant
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Maryse Condé, la liberté d'écrire
L'écrivaine guadeloupéenne Maryse Condé, décédée le 2 avril 2024, a vu son oeuvre ancrée dans l'histoire du colonialisme. Ce film est le voyage initiatique d'une jeune femme qui parcourt les Antilles, l'Europe, l'Afrique, à la recherche d'elle-même et qui, emportée par le vent de l'histoire, fait le douloureux apprentissage de la liberté́ : un voyage qui fera de Maryse Condé une immense dame de la littérature francophone.
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La case du siècle
Paris au temps du Bal Nègre
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Aux arts et cætera
Les Légitimus, une famille française