Trente skippers confirmés mais aussi quelques "bizuths" se présentent ce dimanche à Concarneau sur la ligne de départ de la 13e édition de la Transat AG2R-La Mondiale, avec l'île antillaise de Saint-Barthélémy en ligne de mire. Principe de cette transat : une confrontation à armes égales.
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Les quinze duos - autant que lors de la précédente édition, en 2014 – embarqueront tous sur des monocoques Figaro Bénéteau 2 de 10,10 m de long, rigoureusement similaires. Le départ sera donné ce dimanche à 13h08, le vainqueur de la course n'étant attendu que vers le 23 ou le 24 avril à Saint-Barth, au terme d'une course de quelque 3.800 milles (plus de 7.000 km). Une course que quinze marins sur les trente engagés vont découvrir. Parmi ceux-là, huit n'ont par ailleurs jamais traversé l'Atlantique, souligne la direction de la Transat AG2R-La Mondiale.
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C'est loin d'être le cas pour Thierry Chabagny et Erwan Tabarly – respectivement six et sept participations - deux marins qui faisaient déjà équipe en 2014 mais avaient dû abandonner, pour cause de démâtage, alors qu'ils étaient en tête de la flotte. Sur les quais de Concarneau, il se murmure que les deux hommes, sur Gedimat, "ont les dents longues".
D'autres tandems, Sébastien Simon/Xavier Macaire sur Bretagne-CMB Performance, Nicolas Lunven/Gildas Mahé sur Generali ou Adrien Hardy/Vincent Biarnes sur Agir Recouvrement, figurent aussi parmi les favoris.
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Mais "méfions-nous des certitudes dans notre sport", prévient Gilles Chiorri, le directeur de la course. "Il y a mille raisons pour lesquelles un favori peut se planter: avarie, erreur stratégique ou un binôme qui ne fonctionne pas, par exemple", pointe-t-il. En l'absence de certains ténors de la course au large pour cause de participation au Vendée Globe, les neuf autres duos auront leur carte à jouer sur cette traversée "d'attention et de pilotage", selon la direction de course, mais aussi "technique et stratégique".
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C'est loin d'être le cas pour Thierry Chabagny et Erwan Tabarly – respectivement six et sept participations - deux marins qui faisaient déjà équipe en 2014 mais avaient dû abandonner, pour cause de démâtage, alors qu'ils étaient en tête de la flotte. Sur les quais de Concarneau, il se murmure que les deux hommes, sur Gedimat, "ont les dents longues".
Duos aguerris
Ils auront cependant fort à faire face à des duos aguerris, comme celui formé de Charlie Dalin, vainqueur de cette transat en 2012, et de Yoann Richomme, deuxième en 2014, sur Skipper Macif. Ou comme celui constitué, sur Cercle Vert, de Gildas Morvan, co-vainqueur avec Dalin en 2012, et d'Alexis Loison, vice-champion de France 2015 Elite de course au large en solitaire, mais qui, curieusement, n'a jamais traversé l'Atlantique.D'autres tandems, Sébastien Simon/Xavier Macaire sur Bretagne-CMB Performance, Nicolas Lunven/Gildas Mahé sur Generali ou Adrien Hardy/Vincent Biarnes sur Agir Recouvrement, figurent aussi parmi les favoris.
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Mais "méfions-nous des certitudes dans notre sport", prévient Gilles Chiorri, le directeur de la course. "Il y a mille raisons pour lesquelles un favori peut se planter: avarie, erreur stratégique ou un binôme qui ne fonctionne pas, par exemple", pointe-t-il. En l'absence de certains ténors de la course au large pour cause de participation au Vendée Globe, les neuf autres duos auront leur carte à jouer sur cette traversée "d'attention et de pilotage", selon la direction de course, mais aussi "technique et stratégique".