Quelles sont les effets attendus de la transat Bretagne-Martinique pour l'économie du pays? Selon la présidente du Comité Martiniquais du Tourisme, de nombreux secteurs vont bénéficier de "l'effet transat". Interview de Karine Roy Camille.
Quelles seront les retombées économiques pour l'île?
- Les retombées économiques sont d'abord pour tous les commerces de Fort de France puisqu'il ne faut pas oublier que la transat arrive dans la baie de Fort de France, en plein coeur de la ville. Les familles des skippers vont venir les accueillir à l'arrivée, cela va donc bénéficier aux locations de villas, gites, hôtels, aux locations de voitures. Et puis nous faisons une opération touristique en amont en Bretagne pour faire venir d'autres visiteurs, au delà des familles.
L'idée est de prolonger la haute saison touristique?
- C'est exactement cela. La date de cette transat est précisément choisie pour nous permettre de prolonger la haute saison touristique.
Le CMT soutient Eric Baray, l'unique skipper Martiniquais de la transat?
- Nous soutenons tout le monde, mais nous avons bien évidemment un coup de coeur pour notre skipper Eric Baray qui a eu le mérite et le courage de trouver des sponsors pour l'accompagner sur cette course.
Il y a deux ans, les skippers avaient été beaucoup plus rapides que prévu pour traverser l'Atlantique et le village d'accueil était à peine prêt...
Vous allez anticiper pour cette édition?
- L'expérience vécue en 2011 a été riche d'enseignement. Il faudra cette fois que nous soyons prêts bien en amont, c'est à dire deux jours avant la date prévue (Selon les organisateurs, l'arrivée des premiers est prévue pour le jeudi 4 avril)
- Les retombées économiques sont d'abord pour tous les commerces de Fort de France puisqu'il ne faut pas oublier que la transat arrive dans la baie de Fort de France, en plein coeur de la ville. Les familles des skippers vont venir les accueillir à l'arrivée, cela va donc bénéficier aux locations de villas, gites, hôtels, aux locations de voitures. Et puis nous faisons une opération touristique en amont en Bretagne pour faire venir d'autres visiteurs, au delà des familles.
L'idée est de prolonger la haute saison touristique?
- C'est exactement cela. La date de cette transat est précisément choisie pour nous permettre de prolonger la haute saison touristique.
Le CMT soutient Eric Baray, l'unique skipper Martiniquais de la transat?
- Nous soutenons tout le monde, mais nous avons bien évidemment un coup de coeur pour notre skipper Eric Baray qui a eu le mérite et le courage de trouver des sponsors pour l'accompagner sur cette course.
Il y a deux ans, les skippers avaient été beaucoup plus rapides que prévu pour traverser l'Atlantique et le village d'accueil était à peine prêt...
Vous allez anticiper pour cette édition?
- L'expérience vécue en 2011 a été riche d'enseignement. Il faudra cette fois que nous soyons prêts bien en amont, c'est à dire deux jours avant la date prévue (Selon les organisateurs, l'arrivée des premiers est prévue pour le jeudi 4 avril)