La transat n'est pas encore partie que les régions qui accueillent le départ et l'arrivée de la transat réfléchissent à la suite des évènements. Rien n'est acté, mais Brest comme le Comité Martiniquais du Tourisme se verraient bien remettre ça dans deux ans.
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A Brest, la transat Bretagne-Martinique n'est pas très visible, en dehors du Port du Château. La ville a l'habitude des grandes fêtes maritimes: rassemblements tous les quatre ans de vieux gréements, arrivées du trophée Jules Verne. En comparaison de ces grands événements, la transat qui part demain est nettement plus modeste.
Trois explications: il y a moins de bateaux au départ (15 contre plus de 80 pour la Route du Rhum). Les monocoques qui participent sont des monotypes, des Figaro Bénéteau 2 de 10 mètres de long, moins spectaculaires que les géants des mers des grandes courses. C'est également la première fois que Brest est la ville départ de cette transat qui a connu de nombreux parcours différents: depuis 2001 Saint-Nazaire, Belle-Ile-en-mer, Bénodet ont successivement été ports de départ.
Le week-end dernier, 300 à 400 spectateurs sont venus assister au prologue. Le maire adjoint espère que ce dimanche pour le départ, entre 4.000 et 5.000 spectateurs viendront voir les quinze monocoques évoluer sur le stade nautique de Brest. Pour l'avenir, Jean-Claude Lardic est optimiste: " sans préjuger du bilan qui sera tiré à l'issue de cette première expérience, je pense qu'il faut inscrire les choses dans la durée. Au regard de cette semaine d'avant-course, des échanges avec les marins et la Martinique, je suis favorable à la poursuite de ce partenariat. "
Karine Roy-Camille, présidente du Comité Martiniquais du Tourisme espère également que l'expérience sera renouvelée dans deux ans: "nous avons cette volonté commune de pérenniser l'évènement. Au fur et à mesure, on se fait connaître, la course acquiert ses lettres de noblesse. Donc même avant de tirer le bilan de cette édition, je peux vous dire que nous aurons déjà rendez-vous dans deux ans."
Selon la présidente du CMT, le bilan de cette semaine d'avant-course à Brest est très encourageant. L'espace Martinique a attiré de nombreux visiteurs et touristes potentiels. Karine Roy Camille est interrogée par Alain Rosalie.
France 3 Bretagne, Martinique 1ere et bien sur La1ere.fr vous font vivre le départ aujourd'hui dimanche à 13H00.
Bateaux plus petits, course moins ancrée dans la tradition
Cette course n'a pas non plus l'ampleur que prend tous les quatre ans la Route du Rhum à Saint-Malo.Trois explications: il y a moins de bateaux au départ (15 contre plus de 80 pour la Route du Rhum). Les monocoques qui participent sont des monotypes, des Figaro Bénéteau 2 de 10 mètres de long, moins spectaculaires que les géants des mers des grandes courses. C'est également la première fois que Brest est la ville départ de cette transat qui a connu de nombreux parcours différents: depuis 2001 Saint-Nazaire, Belle-Ile-en-mer, Bénodet ont successivement été ports de départ.
Retenter l'expérience?
Mais les élus Brestois misent beaucoup sur cette première édition, comme l'explique le maire adjoint de la ville en charge des animations et des événements nautiques, Jean Claude Lardic. (Il est interviewé par Alain Rosalie)Lardic
Le week-end dernier, 300 à 400 spectateurs sont venus assister au prologue. Le maire adjoint espère que ce dimanche pour le départ, entre 4.000 et 5.000 spectateurs viendront voir les quinze monocoques évoluer sur le stade nautique de Brest. Pour l'avenir, Jean-Claude Lardic est optimiste: " sans préjuger du bilan qui sera tiré à l'issue de cette première expérience, je pense qu'il faut inscrire les choses dans la durée. Au regard de cette semaine d'avant-course, des échanges avec les marins et la Martinique, je suis favorable à la poursuite de ce partenariat. "
La Martinique encore plus affirmative!
Karine Roy-Camille, présidente du Comité Martiniquais du Tourisme espère également que l'expérience sera renouvelée dans deux ans: "nous avons cette volonté commune de pérenniser l'évènement. Au fur et à mesure, on se fait connaître, la course acquiert ses lettres de noblesse. Donc même avant de tirer le bilan de cette édition, je peux vous dire que nous aurons déjà rendez-vous dans deux ans."Selon la présidente du CMT, le bilan de cette semaine d'avant-course à Brest est très encourageant. L'espace Martinique a attiré de nombreux visiteurs et touristes potentiels. Karine Roy Camille est interrogée par Alain Rosalie.
Karine Roy Camille
Une course à suivre sur France Télévisions
Internet, radio, télé...France Télévisions se mobilise pour vous faire vivre les derniers préparatifs et le départ de la transat.France 3 Bretagne, Martinique 1ere et bien sur La1ere.fr vous font vivre le départ aujourd'hui dimanche à 13H00.