Après son escale technique au Portugal, le skipper martiniquais est reparti à l'assaut de l'Atlantique. Tout semble réparé à bord de Tektôn AGM/Région Martinique. Eric Baray est gonflé à bloc!
Après son escale technique à Porto, samedi, Eric Baray a vécu une nuit difficile: son pilote automatique s'est une nouvelle fois montré défaillant. Mais le skipper a réussi, après des heures d'effort, à le remettre en marche. Depuis, tout va mieux à bord. A la vacation radio avec le PC course ce lundi, Eric Baray expliquait avoir pu dormir, manger et sécher l'intérieur du bateau. "C'est reparti comme en 40", expliquait-il, d'autant que la météo pour les heures et les jours à venir est plutôt bonne et devrait lui permettre d'aller chercher rapidement les alizés.
Au classement de 19H00 (heure de Paris), le skipper se situait quasiment à la longitude du détroit de Gibraltar. En raison de son escale technique de près de 23 heures, il est actuellement 11ère et dernier de la transat Bretagne-Martinique, à 523 milles (près de 1.000 km) du leader actuel, Damien Guillou (La solidarité mutualiste).
Pendant la vacation, Eric Baray a également eu une pensée pour Kristin Songe Moller, qui a démâté ce week-end. La seule femme de la course, originaire de Norvège et n'ayant pas de sponsor, est contrainte à l'abandon. Eric Baray apprécie cette jeune femme "déterminée, qui va au bout de son aventure, de son rêve. On était plusieurs à lui dire que si elle arrivait en Martinique, on était à la maison et on lui aurait arrangé l'histoire. C'est dommage une histoire qui s'arrête".
11ème et dernier
Au classement de 19H00 (heure de Paris), le skipper se situait quasiment à la longitude du détroit de Gibraltar. En raison de son escale technique de près de 23 heures, il est actuellement 11ère et dernier de la transat Bretagne-Martinique, à 523 milles (près de 1.000 km) du leader actuel, Damien Guillou (La solidarité mutualiste).
Une pensée pour Kristin
Pendant la vacation, Eric Baray a également eu une pensée pour Kristin Songe Moller, qui a démâté ce week-end. La seule femme de la course, originaire de Norvège et n'ayant pas de sponsor, est contrainte à l'abandon. Eric Baray apprécie cette jeune femme "déterminée, qui va au bout de son aventure, de son rêve. On était plusieurs à lui dire que si elle arrivait en Martinique, on était à la maison et on lui aurait arrangé l'histoire. C'est dommage une histoire qui s'arrête".Un message pour ses supporters
Enfin, Eric Baray a posté un message sur Facebook pour ses supporters, et notamment ceux de Martinique 1ère:« Je suis très touché par tous vos messages de sympathie, de gentillesse, d’Amour et d’encouragement. Ces messages m’encouragent à aller de l’avant et à continuer. Je remercie le Seigneur de vous avoir mis sur ma route».
Eric Baray
Eric Baray