La baisse des cours du nickel impacte les résultats du groupe à commencer par ceux de la SLN en Nouvelle-Calédonie. A la bourse de Paris ce mardi, les cours de l’action sont en baisse.
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Le groupe minier et industriel Eramet s'attend au premier semestre à un résultat opérationnel courant sensiblement inférieur à celui du second semestre 2012. Eramet l’explique par l'impact sur ses comptes de la crise économique et par la chute des cours du nickel liée à des surcapacités de production mondiales.
Avec un chiffre d'affaires de 797 millions d'euros au 1er trimestre 2013, en baisse de -9 % par rapport au 1er trimestre 2012, Eramet est affecté par la crise économique mondiale et ses conséquences sur la demande en acier inoxydable. Les excédents de production de nickel, principalement en Chine, pèsent sur les prix et sur les résultats de la SLN en Nouvelle-Calédonie.
Face à cette dégradation, le groupe indique que ses investissements seront inférieurs en 2013 à ceux réalisés en 2012. Le groupe Eramet a subi une contraction de 9% de son activité trimestrielle, à 797 millions d'euros, sous la pression de la crise économique. Seul point positif, la branche Manganèse au Gabon a généré 388 millions d'euros et modère le recul, avec sa croissance de 3,7%.
En revanche, la branche nickel, principalement en Nouvelle-Calédonie, recule de -23,3% à 181 millions d'euros et les alliages sont en baisse de -14,8% à 231 millions d'euros.
En Nouvelle-Calédonie, la branche nickel recule
Avec un chiffre d'affaires de 797 millions d'euros au 1er trimestre 2013, en baisse de -9 % par rapport au 1er trimestre 2012, Eramet est affecté par la crise économique mondiale et ses conséquences sur la demande en acier inoxydable. Les excédents de production de nickel, principalement en Chine, pèsent sur les prix et sur les résultats de la SLN en Nouvelle-Calédonie.Face à cette dégradation, le groupe indique que ses investissements seront inférieurs en 2013 à ceux réalisés en 2012. Le groupe Eramet a subi une contraction de 9% de son activité trimestrielle, à 797 millions d'euros, sous la pression de la crise économique. Seul point positif, la branche Manganèse au Gabon a généré 388 millions d'euros et modère le recul, avec sa croissance de 3,7%.
En revanche, la branche nickel, principalement en Nouvelle-Calédonie, recule de -23,3% à 181 millions d'euros et les alliages sont en baisse de -14,8% à 231 millions d'euros.