Les week-ends, La1ere.fr vous propose un voyage dans le temps avec les archives de l'Institut national de l'audiovisuel (INA). Le 26 décembre 1997, le dirigeant du Front national Jean-Marie Le Pen était pris à partie par des militants indépendantistes à l’aéroport de Fort-de-France. Regardez.
La Martinique n’a jamais vraiment laissé de bons souvenirs chef du Front national (FN) Jean-Marie Le Pen. Le 6 décembre 1987, alors qu’il voulait se rendre dans l’île, des dizaines de manifestants anti FN envahissaient le tarmac de l'aéroport de Fort-de-France pour empêcher l'atterrissage de son avion.
Dix ans plus tard, le 26 décembre 1997, Jean-Marie Le Pen fait une escale à l'aéroport de Fort-de-France. Il est accompagné de quatre personnes, dont son épouse. Destination finale, l’île de Porto Rico où il va passer des vacances. Las, informés de la présence du chef du FN à l’aéroport, des militants indépendantistes et antiracistes s’invitent dans l’espace VIP, après avoir forcé les contrôles de police. Les insultes et les coups fusent.
« Ce sont des bandits », lâchera un Le Pen furibard. « Je suis député européen et je saurai tenir compte de cette attitude dans les discussions qui tiendront compte des intérêts des îles ». Le FN demanda le limogeage du préfet de Martinique, arguant de son « incompétence » et de son « laxisme ». Sans résultat.
Dix ans plus tard, le 26 décembre 1997, Jean-Marie Le Pen fait une escale à l'aéroport de Fort-de-France. Il est accompagné de quatre personnes, dont son épouse. Destination finale, l’île de Porto Rico où il va passer des vacances. Las, informés de la présence du chef du FN à l’aéroport, des militants indépendantistes et antiracistes s’invitent dans l’espace VIP, après avoir forcé les contrôles de police. Les insultes et les coups fusent.
« Ce sont des bandits », lâchera un Le Pen furibard. « Je suis député européen et je saurai tenir compte de cette attitude dans les discussions qui tiendront compte des intérêts des îles ». Le FN demanda le limogeage du préfet de Martinique, arguant de son « incompétence » et de son « laxisme ». Sans résultat.