A quatre jours du grand saut dans l’Atlantique pour 4.700 km de navigation en solitaire, les concurrents de Rames Guyane 2014 s’attèlent aux derniers préparatifs. On fait le point.
Le compte à rebours a vraiment commencé pour les 18 concurrents de Rames Guyane 2014. A quatre jours du départ pour la traversée de l’Atlantique à la rame en solitaire, sans escale ni sans assistance, de Dakar à Kourou, la course est dans toutes les têtes. Entre excitation et appréhension. Des montées d’adrénaline mêlées d’angoisse.
Actuellement, les skippers peaufinent leurs équipements et leur préparation. Sans escale ni assistance, tout doit être réglé dans les moindres détails. Une négligence ou un oubli peut être fatal et conduire à l’abandon ou à l’accident. Les participants vérifient ainsi minutieusement leurs embarcations, coques, rames, systèmes de communication satellite, balises Argos, provisions, dessalinisateurs, etc.
Les concurrents scrutent aussi attentivement la météo pour y déceler de bons (ou mauvais) présages. Pour l’instant, selon les organisateurs de Rames Guyane, « des vents de Nord à Nord-Est modérés semblent s’établir sur la presqu’île du Cap Vert, laissant augurer des conditions de navigations idéales le jour du départ de la course ». « Réponse samedi en fin de matinée », ajoutent-ils.
Côté physique, il faut signaler quelques problèmes. Plusieurs skippers ont été atteint d’une « tourista carabinée » (dixit l’organisation), qui a obligé certains à rester alités le 12 octobre. Cela ne devrait pas les empêcher d’être au départ samedi mais attention à l’alimentation tout de même !
Philippe de Saint Léger de la société CLS distribue une balise Argos (balise de localisation et de demande d'assistance) à Olivier Ducap (à gauche). Cette balise permet également aux organisateurs et au public de pouvoir suivre la course en temps réel.
Rémy Landier, originaire de Buoux dans le Vaucluse, s’applique sur les derniers réglages de son embarcation.
Voilà à quoi ressemble l’intérieur d’un bateau apprêté pour Rames Guyane. Le skipper devra y passer une quarantaine de nuits, dans un confort très sommaire.
Moment de convivialité pour le skipper Pascal Tesniere (assis par terre) avec des pêcheurs de la baie de Hann à Dakar, d'où partira Rames Guyane 2014.
A SUIVRE : La1ere.fr sera présente au départ de la course à Dakar, le samedi 18 octobre ! Rendez-vous sur www.la1ere.fr pour plus de reportages, interviews, vidéos, photos etc.
LIRE : J-12 avant l'incroyable traversée de l'Atlantique en solitaire
Actuellement, les skippers peaufinent leurs équipements et leur préparation. Sans escale ni assistance, tout doit être réglé dans les moindres détails. Une négligence ou un oubli peut être fatal et conduire à l’abandon ou à l’accident. Les participants vérifient ainsi minutieusement leurs embarcations, coques, rames, systèmes de communication satellite, balises Argos, provisions, dessalinisateurs, etc.
LIRE : J-9 : les skippers s’installent à Dakar
REGARDEZ : le Guyanais Harry Culas explique la préparation du mouillage
Les concurrents scrutent aussi attentivement la météo pour y déceler de bons (ou mauvais) présages. Pour l’instant, selon les organisateurs de Rames Guyane, « des vents de Nord à Nord-Est modérés semblent s’établir sur la presqu’île du Cap Vert, laissant augurer des conditions de navigations idéales le jour du départ de la course ». « Réponse samedi en fin de matinée », ajoutent-ils.
Côté physique, il faut signaler quelques problèmes. Plusieurs skippers ont été atteint d’une « tourista carabinée » (dixit l’organisation), qui a obligé certains à rester alités le 12 octobre. Cela ne devrait pas les empêcher d’être au départ samedi mais attention à l’alimentation tout de même !
VOIR (ci-dessous) : les préparatifs continuent (avec ramesguyane.com)
Philippe de Saint Léger de la société CLS distribue une balise Argos (balise de localisation et de demande d'assistance) à Olivier Ducap (à gauche). Cette balise permet également aux organisateurs et au public de pouvoir suivre la course en temps réel.
Rémy Landier, originaire de Buoux dans le Vaucluse, s’applique sur les derniers réglages de son embarcation.
Voilà à quoi ressemble l’intérieur d’un bateau apprêté pour Rames Guyane. Le skipper devra y passer une quarantaine de nuits, dans un confort très sommaire.
Moment de convivialité pour le skipper Pascal Tesniere (assis par terre) avec des pêcheurs de la baie de Hann à Dakar, d'où partira Rames Guyane 2014.
A SUIVRE : La1ere.fr sera présente au départ de la course à Dakar, le samedi 18 octobre ! Rendez-vous sur www.la1ere.fr pour plus de reportages, interviews, vidéos, photos etc.