Le FC Nantes et le Club Franciscain s'affronteront le 3 janvier à Nantes, en 32es de finale de la Coupe de France. L’association "La Flamme franciscaine" est sur le pied de guerre. Samedi, trois bus de supporters partiront de Paris. Interview du président de l’association, Roger Sulty.
Plusieurs cars de supporters du Club Franciscain partiront samedi de Paris. Direction Nantes, où doivent se jouer les 32es de finale de la Coupe de France de football. Roger Sulty est président de l’association organisatrice, la "Flamme franciscaine", qui rassemble des personnes originaires du François (en Martinique). Il répond aux questions de La1ère.
La1ere.fr : Combien de supporters partiront à Nantes, samedi, avec la "Flamme franciscaine" ?
Roger Sulty : Trois cars de 60 places, soit 180 personnes au total ! Départ prévu samedi à Paris à 7h30, pour une arrivée au stade de la Beaujoire vers 14h. Au début, je pensais qu’en cette période de fêtes, un seul car suffirait. Mais il s’est rempli si vite que j’ai dû affréter un deuxième bus, puis un troisième ! On aurait pu en remplir un quatrième, mais j’ai manqué de temps. A 30 euros l’aller-retour, les places sont parties très rapidement. Pour notre petite association, c’est un dispositif hors normes ! Mais à match exceptionnel, dispositif exceptionnel (le Club Franciscain n'a jamais rencontré une équipe de Ligue 1 et n'a plus atteint les 32es de finale de la Coupe de France depuis 1993, ndlr).
Qui sont ces supporters qui prendront le bus, samedi, pour aller à Nantes ?
Il y a des Martiniquais qui vivent en métropole, et même des Martiniquais qui ont fait le voyage depuis les Antilles ! Il y aura aussi des Guadeloupéens, nos frères. Toute la communauté antillaise est derrière les joueurs du Club Franciscain. C’est TOUT le football ultramarin qui est à l’honneur ! Pas uniquement les Franciscains. (L'équipe martiniquaise est la seule équipe ultramarine encore en lice en Coupe de France, ndlr.)
A quoi va ressembler l’ambiance dans les tribunes ?
Les gens sont super motivés. Question ambiance, ça va commencer dans le bus. Puis une fois à Nantes, nous serons regroupés dans la tribune Océane, en milieu de terrain. A nos côtés, nous aurons les membres de l’association nantaise "Fouté Difé" (qui assurera l’animation d’avant-match, ndlr). Il y aura de la musique, des tambours, des chants... On va donner de la voix, ça c'est sûr !
La1ere.fr : Combien de supporters partiront à Nantes, samedi, avec la "Flamme franciscaine" ?
Roger Sulty : Trois cars de 60 places, soit 180 personnes au total ! Départ prévu samedi à Paris à 7h30, pour une arrivée au stade de la Beaujoire vers 14h. Au début, je pensais qu’en cette période de fêtes, un seul car suffirait. Mais il s’est rempli si vite que j’ai dû affréter un deuxième bus, puis un troisième ! On aurait pu en remplir un quatrième, mais j’ai manqué de temps. A 30 euros l’aller-retour, les places sont parties très rapidement. Pour notre petite association, c’est un dispositif hors normes ! Mais à match exceptionnel, dispositif exceptionnel (le Club Franciscain n'a jamais rencontré une équipe de Ligue 1 et n'a plus atteint les 32es de finale de la Coupe de France depuis 1993, ndlr).
Qui sont ces supporters qui prendront le bus, samedi, pour aller à Nantes ?
Il y a des Martiniquais qui vivent en métropole, et même des Martiniquais qui ont fait le voyage depuis les Antilles ! Il y aura aussi des Guadeloupéens, nos frères. Toute la communauté antillaise est derrière les joueurs du Club Franciscain. C’est TOUT le football ultramarin qui est à l’honneur ! Pas uniquement les Franciscains. (L'équipe martiniquaise est la seule équipe ultramarine encore en lice en Coupe de France, ndlr.)
A quoi va ressembler l’ambiance dans les tribunes ?
Les gens sont super motivés. Question ambiance, ça va commencer dans le bus. Puis une fois à Nantes, nous serons regroupés dans la tribune Océane, en milieu de terrain. A nos côtés, nous aurons les membres de l’association nantaise "Fouté Difé" (qui assurera l’animation d’avant-match, ndlr). Il y aura de la musique, des tambours, des chants... On va donner de la voix, ça c'est sûr !