Les week-ends, La1ere.fr vous propose un voyage dans le temps et l’histoire avec les archives de l'Institut national de l'audiovisuel (Ina). Au printemps de l’année 2001, l’avocat martiniquais Alex Ursulet défend Guy Georges, le tueur en série de l’est parisien.
« L’affaire SK1 », le film sur la traque qui avait conduit à l’arrestation et au procès de Guy Georges, le violeur et tueur en série de l’est parisien des années quatre-vingt dix, est actuellement dans les salles. Dans cette affaire judiciaire hors-norme, l’avocat de l’assassin était le Martiniquais Alex Ursulet, qui avait alors défrayé la chronique.
C’est Alex Ursulet qui, en plein tribunal au septième jour du procès, parvient à soutirer les aveux de Guy Georges, qui reconnaît, en pleurs, les sept viols et meurtres qu’il a commis en 1991 et 1997. « J’ai défendu un homme, stigmatisé en monstre », déclare alors Alex Ursulet. « J’ai voulu faire ressortir la part d’humanité qu’il y avait en lui. Surtout dans cet aveu terrible, et dans cette demande de pardon, qui le ramène, je l’espère, sur le chemin de la rédemption ».
Le 5 avril 2001, Guy Georges fut condamné par les jurés de la cour d’assises de Paris à une peine de réclusion à perpétuité, assortie de 22 ans de sûreté, conformément aux réquisitions de l’avocate générale.
Source : INA
C’est Alex Ursulet qui, en plein tribunal au septième jour du procès, parvient à soutirer les aveux de Guy Georges, qui reconnaît, en pleurs, les sept viols et meurtres qu’il a commis en 1991 et 1997. « J’ai défendu un homme, stigmatisé en monstre », déclare alors Alex Ursulet. « J’ai voulu faire ressortir la part d’humanité qu’il y avait en lui. Surtout dans cet aveu terrible, et dans cette demande de pardon, qui le ramène, je l’espère, sur le chemin de la rédemption ».
Le 5 avril 2001, Guy Georges fut condamné par les jurés de la cour d’assises de Paris à une peine de réclusion à perpétuité, assortie de 22 ans de sûreté, conformément aux réquisitions de l’avocate générale.