Le groupe Dubreuil, actionnaire d’Air Caraïbes, va présenter son projet de rachat de Corsair, ce jeudi, aux représentants du personnel. Le site La Tribune en révèle déjà les grandes lignes : un rachat à bas coûts, une marque Corsair et des appareils B747 conservés.
"L’ambiance est très moyenne en ce moment chez Corsair, raconte anonymement à la 1ère.fr un employé qui travaille à l’enregistrement des passagers. On craint un plan social. Il y aura forcément des doublons sur des fonctions, tout le monde est inquiet. On se pose beaucoup de questions et on n'a pas de réponse."
Pourtant, des réponses, le site internet La Tribune, en a obtenu. Il révèle, ce mercredi, les grandes lignes du projet de rachat de Corsair qui doit être présenté aux représentants du personnel de Corsair, ce jeudi, par Jean-Paul Dubreuil, président du conseil de surveillance du groupe éponyme et d'Air Caraïbes.
En rachetant Corsair, le groupe Dubreuil, déjà propriétaire d'Air Caraïbes, va prendre la tête d’entreprises "qui pèsent à elles deux près de 850 millions d'euros de chiffre d'affaires, avec environ 2 000 employés, et doté de 12 gros porteurs et 3 ATR", note La Tribune. De quoi concurrencer Air France, dont l’offre est déjà mise à mal par les compagnies à bas coûts sur le court et moyen-courrier.
Pourtant, des réponses, le site internet La Tribune, en a obtenu. Il révèle, ce mercredi, les grandes lignes du projet de rachat de Corsair qui doit être présenté aux représentants du personnel de Corsair, ce jeudi, par Jean-Paul Dubreuil, président du conseil de surveillance du groupe éponyme et d'Air Caraïbes.
Un rachat à bas coût
Les deux parties ont, semble-t-il, réussi à s’entendre. Selon les informations de La Tribune, il serait question d’un rachat, et non d’une fusion. Ainsi "l’entreprise Corsair et sa marque seraient conservées", d’après le site économique qui indique aussi que "le prix d'acquisition est faible", avançant même "que TUI a mis la main à la poche".En rachetant Corsair, le groupe Dubreuil, déjà propriétaire d'Air Caraïbes, va prendre la tête d’entreprises "qui pèsent à elles deux près de 850 millions d'euros de chiffre d'affaires, avec environ 2 000 employés, et doté de 12 gros porteurs et 3 ATR", note La Tribune. De quoi concurrencer Air France, dont l’offre est déjà mise à mal par les compagnies à bas coûts sur le court et moyen-courrier.